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Synchronie, Concordance des Intentions, Le Peuble Rassemblé envoie leur Intention vers l'Univers : Purifier ce Monde des Voleurs d'Ames !!!

 

 

 

 

Les 4 pilliers de la guérison

 

 

 

    Dans ce petit site sont regroupées plusieurs techniques paramédicales qui ont déjà fait leurs preuves et qui ont aidées plusieurs personnes. Ces techniques ne remplacent pas la consultation médicale, elles sont une aide supplémentaire. Les idées présentés ici n’engagent que leur auteur ( moi même), et sont déjà publiées sur un blog portant mon nom (http://guilforce.skyrock.com/ ).

Thèse

Attention, Intention, Respiration (A.I.R.)

Quand le corps est bléssé ou malade il envoie à l'esprit la douleur, douleur qui peut être également intérieure
ou émotionnelle (à cause d'un traumatisme par exemple).
Cette douleur est faite pour attirer notre attention afin de soigner cette souffrance.
L'intention agit dans le corps comme dans notre esprit ou notre coeur. Une intention avec la conviction de guérir une blessure
peut déjà faire beaucoup.
La respiration donne au corps l'oxygène necessaire pour l'oxydation de nos aliments qui nous donnent l'énergie de la vie.
Un manque d'oxygène provoque fatigue, déhydratation, maladie et vieillissement.
L'organisme possède un réflexe de récupération d'oxygène et d'élimination plus grande des déchets gazeux qui est le baillement.
Chacunes de nos cellules est comme un petit feu de cheminé qui réchauffe tout notre corps, si l'arrivé d'air n'est pas suffisante
le feu s'étouffe doucement et s'éteint.
La respiration glottique, en plaçant notre gorge comme lorsque l'on baille à chaque respiration, apporte beaucoup d'oxygène à l'organisme,
élimine efficacement le gaz carbonique et le monoxyde; en plus du renforcement musculaire de la gorge, de la cage thoracique et des abdominaux,
elle permet une meilleure hydratation du corps.
En prenant conscience que tout notre corps respire, il est possible d'envoyer son intention de respiration vers un membre de notre corps
et le respirer comme on respire l'air pour intensifier la respiration cellullaire de ce membre.
Ainsi on peut aspirer et souffler dans tous membres, organes ou émotion qui nous fait souffrir ou que l'on voudrait changer, même une mauvaise habitude
sera vaincue sans aucun manque en apprenant à la prendre (ou l'accepter) et à lui redonner (ou la combattre).
En prenant conscience par la douleur on donne l'attention, en donnant l'intention de guérison par la respiration on prend la vie.

La méthode complète repose sur la respiration, respirer avec le fond de la gorge comme lorsque l'on baille, c'est la respiration glottique;
de plus en alliant l'intention de respirer dans un membre ou un organe avec cette respiration glottique on amplifie la respiration cellulaire dans
l'endroit visé par l'intention ( aspirer la douleur et la souffler),
cette technique fonctionne sur beaucoup de douleur et même émotionnelle,
avec de la pratique vous pourrez même soigner les autres avec cette technique du souffle vital


la loi du tout
quand on prend forcément on donne et vise versa
cela dépend de quel point de vu on se place
si on retire l'égo tu fais les deux en même temps

Les inconscients de chacun qui fait battre nos coeurs et réchauffe nos corps, cet inconscient qui fait les choses propres à notre survie,
oui tous nos inconscients sont liés, oui chaque cerveau émet un champs magnétique qui peut devenir réciproque si un autre émet dans la même direction.
oui l'énergie est liée à l'énergie, l'esprit à l'esprit oui tout est intriqué comme un hologramme

Respiration Ujayî dit "La Victorieuse"
"Uj" = plus élevé
"Jaya" = victoire
Respiration glottique, légèrement sonore, avec contraction de la gorge afin de ralentir l'entrée et la sortie du souffle. C'est un léger bruissement généré par une petite contraction à l'avant du cou, entraînant une obturation partielle de la glotte. Le son qui est émis doit ressembler à un doux ronflement.
Seul le pratiquant peut l'entendre et non les autres personnes. S'il est trop prononcé, cela signifie que la pratique est faite en force ou manque d'introversion.
Dans le sommeil profond, ce type de respiration se produit naturellement.
La respiration Ujjayi renforce les muscles de la respiration et améliore les échanges gazeux. Cette pratique permet une très bonne oxygénation du sang pendant la pratique des asanas.
Son apprivoisement se produit naturellement au fur et à mesure de l'apprentissage.

Voilà le secret du Tout, voilà la Bonne Nouvelle :
La vie éternelle vous à été cachée depuis trop longtemps, les religions vous l'on caché ne le comprenant pas elles mêmes, les politiques avides de pouvoir ont tout fais pour que personne ne la trouve, mais l'eau de jouvence existe vraiment elle est produite dans chacune de vos cellules si vous avez assez d'oxygène dans le sang. Pourquoi ont -ils rendus dépendant des milliards de gens à aspirer la fumé de cigarette ? Car ils exploitent un instinct humain d'aspirer et de souffler, oui de prendre et de donner.
En contrôlant votre taux d'oxygène sanguin et vos fonctions végétatives vous pouvez soigner n'importe quelles de vos maladies, vous ne produirez plus c'est fameux radicaux libres qui rapportent tant d'argent à vos patrons, oui la maladie et la mort rapportent beaucoup à ceux qui vous vendent des pilules issues de la pétrochimie.
Ce que je vous dis est connu depuis 1994 officiellement et depuis toujours officieusement.
Seuls ceux qui savent se remettre en question (les humbles) pourront remettre en question se dogme absolue que la durée de vie d'un être doué d'intelligence doit être de 10% de celle d'une tortue et de 1% de celle d'un arbre ( je comprend pourquoi ils les coupent tous, la jalousie ).
Un grand Merci à la Conscience

Notre corps que l'on voit n'est que la bande électro-biochimique du vortex électromagnétique de notre conscience qui peut s’étaler et agir à l'infini.


Un être humain entretien sinon il n'est Rien.
Si un être n'entretient ni son corps ni son milieu de vie il sera repris par LA VIE
Vivre c'est respirer, respirer c'est prendre et donner, Tout autre n'est que Néant.


Ne vous laissez pas tromper par les apparences, certains ressemblent à des humains mais n'ont pas de conscience car ils n'utilisent que leur cerveau reptilien, d'autres utilisent aussi leur cerveau limbique, seul les "vrais" humains utilisent leur neo-cortex. Comment les reconnaître alors ?
Le partage, le don, l'échange mutuel sont le fruit de l’intelligence, entretenir notre milieu de vie et aider les membres de notre espèce sont innés dans la nature sauvage.
Ceux qui donnent déjà en tout désintéressement connaissent le bonheur que l'on retire à faire mieux pour les autres que pour soi-même, c'est ceux là les "vrais" humains qui ont la possibilité de vivre très longtemps sur cette terre qui donne sans rien réclamer, les autres continueront à s’entre-tuer jusqu'à qu'il ne reste que ceux qui n'ont pas donner un prix pour venir au monde et qui n'en demande pas pour y rester.


 

http://guilforce.free.fr/vie.htm

 

1. La Respiration Instinctive

    Voici une nouvelle technique très prometteuse, mise au point à l’aide de médecins confirmés, qui permet sans effort de retrouver dynamisme, ventre plat, augmentation du souffle, calme et contrôle du corps, de très nombreux bienfaits liés a l’augmentation de l’absorption de l’oxygène de l’air et à la récupération de la vapeur d’eau contenue dans l’air par l’organisme.

    Introduction

    La respiration est vitale, elle permet à l’oxygène contenu dans l’air de passer dans notre organisme, et le rejet des gaz inutilisables et issus de la respiration cellulaire (CO2, CO).

    De nombreuses techniques de relaxation ou de méditation fondent leurs bases sur le contrôle de la respiration, effectivement la respiration s’adapte naturellement à notre mode vie et si on n’y prête pas attention elle peut de dérégler.

    La technique présentée ici, la respiration instinctive, comme son nom l’indique à pour but de retrouver sans effort la respiration qu’utilisait nos ancêtres sans même en avoir conscience. De génération en génération, ce manque de contrôle à fini par rendre notre respiration rapide, avec une absorption de seulement 20% de l’oxygène de l’air.

    Après un tour d’horizon de faits intéressant sur la respiration, son principe est détaillé ainsi qu’une des techniques pour retrouver sans effort une respiration qui augmente l’oxygénation du corps, son hydratation, et procure de très nombreux bienfaits.

 

    I Le but

    Selon certains biologistes, la dégénérescence de nos cellule serait due à une fatigue, à des accumulations de radicaux libres. Comme dans un feu de cheminé, nos cellules ont besoin d'oxygène pour bruler les calories et si elles en manquent produise des déchets que sont les radicaux libres et le monoxide de carbone. Le thé qui brule les radicaux libres a vertus sur la longévité de notre vie, combien plus alors l'oxygène ( le thé agit comme cataliseur et facilite l'oydation des calories diminuant les radicaux libres)

 

    II Le principe

    Le principe est de retenir l’air expulsé au niveau des muscles de la gorge, afin de créer une compression dynamique à l’intérieur des poumons. Cette compression dynamique augmente les échanges gazeux au niveau des alvéoles pulmonaires et favorise l’absorption d’oxygène. De plus la vapeur d’eau contenue dans l’air expiré est condensée au niveau des fosses nasales et sera donc réutilisée pour humidifier l’air entrant, ce qui permet de récupérer une partie de l’eau en quelque sorte.

    Cette rétention d’air se fait naturellement sans même y penser, par réflexe instinctif. Les muscles de la gorge se placent automatiquement, comme ils cherchent à le faire lorsque nous dormons, ce qui peut provoquer des ronflements quand ces muscles sont affaiblis.

    De plus il est nécessaire d’expirer en contractant les muscles abdominaux, afin de bien vider le gaz carbonique et que par réflexe la cage thoracique se gonfle d’elle même.

    Il faut donc apprendre à détendre ses muscles afin de retrouver des réflexes perdus depuis des millénaires, voici la technique :

 

    III La technique

    Lorsque l’on baille on retrouve la respiration instinctive, car le bâillement est un réflexe de survie qui rééquilibre le corps quand il manque d’oxygène. On retrouve également cette disposition des muscles de la gorge lorsque l’on fait de la buée sur une vitre par exemple ou quand on siffle un air de musique. Donc :

  1. Bailler plusieurs fois en observant intérieurement les muscles de la gorge,
  2. Faire de la buée sur un miroir sans forcer l’expiration,
  3. S’habituer à cette expiration,
  4. Répéter l’exercice en fermant la bouche alternativement afin de faire la bué dans le nez,
  5. Bien vider l’air des poumons en contractant les muscles abdominaux,
  6. Relâcher tous les muscles lors de l‘inspiration, d’abord de la gorge puis le ventre, la cage thoracique se regonflera automatiquement et la gorge s’ouvrira afin que l’air entre bien dans les poumons.
  7. Prendre l’habitude de respirer en faisant la bué dans le nez, en vidant l’air par les muscles abdominaux et en s’ouvrant bien a l’inspiration.

    Prendre cette habitude est plus simple qu’il n’y parait, effectivement cette respiration étant bénéfique pour le corps, on retrouve ce reflexe très vite, il suffit juste de penser à le faire le plus souvent possible, il redeviendra automatique tout seul.

 

    IV Les bénéfices

    Les bénéfices sont nombreux, mais surtout très utiles.

 

 

 

 

 

 

Et ce n’est qu’un résumé des bénéfices apportés par cette respiration.

 

    V Les aboutissements

    La respiration instinctive permet une meilleure oxygénation du sang et par conséquent, alliée au contrôle du flux sanguin, permet un apport d’oxygène à un membre du corps malade ou blessé qui en aurais particulièrement besoin, et permet l’évacuation plus rapide des déchets gazeux et des radicaux libres.

    On peut également respirer ainsi en faisant passer l’air en même temps par le nez et les lèvres légèrement entrouvertes, ce qui apporte encore plus d’oxygène dans les moments où on en a le plus besoin.

 

    Conclusion

    Respirer est naturel, vital, son contrôle est le départ d’un contrôle sur soi même.

 

http://guilforce.free.fr/respiration.htm

 

 

 

 

 

 

2. Le training autogène de J. H. Schultz (docteur en psychiatrie)

    Voici une technique de relaxation qui m’a été apprise par un Psychologue de Senlis (60), elle est contenu dans le livre portant son nom, et dans de nombreux ouvrages traitant de la relaxation.

    Le but du training et de reproduire soi même les sensations conduisant à une détente du corps et de l’esprit. Elle se divise donc en deux, d’une part la détente du corps, puis ensuite l’accès à l’inconscient. Comme son nom l’indique, le training c’est l’entrainement, donc il faut apprendre par étapes, et passer à une autre que lorsque l’on maitrise la précédente.

    Le principe est d’induire le calme par autosuggestion, en se répétant des phrases (Dr. Coué) qui vont provoquer un ressenti corporel. Il est bien de les répéter 3 fois chacune lors de l’expiration. Au début de l’entrainement la méthode est un peu répétitive, mais au fur et mesure de la progression on raccourci et l’on supprime des étapes.

    Relaxation du corps

En position de détente ou allongé, il convient de bien écarter les bras et les jambes afin qu’ils ne se touchent pas, et de commencer toujours par le coté maitre de notre corps (gaucher, ou droitier ).

« Calme »

« Je me sens calme et détendu »

***

« Lourd »

« Ma main droite devient lourde

« Mon bras droit devient lourd »

« Ma main gauche devient lourde »

« Mon bras gauche devient lourd »

« Mon pied droit devient lourd »

« Ma jambe droite devient lourde »

« Tout mon corps devient lourd »

***

« Chaud »

« Ma main droite devient chaude »

« Mon bras droit devient chaud »

« Ma main gauche devient chaude »

« Mon bras gauche devient chaud »

« Mon pied droit devient chaud »

« Ma jambe droite devient chaude »

« Tout mon corps devient chaud »

***

« Mon cœur bat calme et fort » (calme dans le rythme)

***

« Tout mon corps respire » (sensation que tout le corps gonfle et dégonfle en suivant les poumons)

***

« Le creux de mon estomac est chaud »

***

« Mon front est frais comme l’air que je respire »

***

    A ce stade on est complètement détendu et si l’on veut on peux accéder à son inconscient avec la visualisation dans l’esprit, c’est-à-dire faire apparaitre dans notre mental des images, entendre des sons, sentir des odeurs ou d’autre sensations, comme des souvenirs que l’on se rappel.

    Pour sortir de cet état de détente il faut bien respirer à fond trois ou quatre fois et s’étirer comme au réveil, puis ouvrir les yeux à la fin.

    Conclusion

    Le contrôle de soi, du corps et de l’esprit et le début d’un renouveau personnel, cette technique doit etre pratiquée très régulièrement pour facilité l’apprentissage et apporter tout les bénéfices qui y sont rattachés.

 

 

 

3. Le contrôle du flux sanguin

    Contrôler la direction et la force du flux sanguin dans nos membres, voila en quoi consiste la technique présentée ici.

    Augmenter le flux sanguin dans un membre lui apporte tout ce que le sang contient pour l’alimenter, l’oxygène, l’eau et les nutriments; ainsi que les globules blancs pour combattre les microbes. De ce fait ce membre suralimenté va mieux fonctionner, mieux se réparer et va être plus efficace.

    Pour apprendre à contrôler son flux sanguin il faut maitriser le training autogène, en apprenant à chauffer un membre, on apprend à dilater nos veines, ce qui augmente la quantité de sang dans ce membre. Ainsi par la pratique, on va pouvoir chauffé chaque organes, chaque parties de notre corps.

    Alliée à une meilleure respiration on apporte d’avantage d’oxygène, que l’on va pour ainsi dire pousser à l’expiration dans le membre ou l’organe souhaité.

    On peut également chauffer très fort nos mains et en les approchant d’une personne ayant mal (magnétisme), on va provoquer chez elle par reflexe du corps un affût de sang là où elle a mal et par conséquent tout les bénéfices qui en découlent.

    Cette technique particulièrement demande beaucoup de pratique et de contrôle de son corps.

 

 

 

 

 

4. Comment atténuer la souffrance dut a un traumatisme?

    La technique présentée ici m’a été enseignée par un hypno-thérapeute que j’ai consulté a Paris (75). Elle a pour but d’atténuer l’affect émotif dut à un traumatisme psychologique, afin de supprimer, ou au moins diminuer, la souffrance intérieure.

    Lors d’une agression par exemple, notre esprit choqué n’a pas le temps de gérer la situation et créer un blocage au niveau de l’inconscient. Ce blocage résulte d’une recherche de la solution par l’inconscient et remue en nous une souffrance que l’on a du mal à exprimer.

    La solution? Permettre à notre inconscient de trouver une réponse face à l’agression que l’on a subit.

    En situation de détente, ou de relaxation de préférence, il faut repenser à la personne à l’origine du traumatisme, en la visualisant bien, il convient de la diminuer, de la faire rapetisser dans l’image que l’on se fait d’elle, pour que cette personne soit petite comme un insecte ou un petit animal inoffensif. Il est très important de bien visualiser cette scène dans sa tète, et ensuite de vaquer à ses occupations sans y repenser.

    Il est bien de répéter l’exercice plusieurs fois, tant qu’une douleur intérieure se fait sentir.

 

 

Conclusion générale

    Pour des informations complémentaires, des remarques, des cours gratuits, ou pour toutes questions, ne pas hésiter pas à me contacter par email à guilforce@hotmail.fr

  

 

 

 

 

Logiciels:

Dreamscene64bts

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NOUVEAUX DOCUMENTS IMPORTANTS

 

ENERGIE - DES SOLUTIONS POUR PRODUIRE SANS DETRUIRE L'ENVIRONNEMENT
" Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance " B.Fuller

" Alternative au génie génétique "
de Tsiang Kan Zheng

Phénomènes métapsychiques (bio-energo-informationnels)

Introduction par Quanthomme

Vous connaissez sans doute les travaux d'Alexandre Gurvitch qui avait découvert que sous certaines conditions un corps peut émettre vers un autre corps un rayonnement énergétique qu'il appela rayonnement mitogénétique.

Ces travaux furent repris par Fritz Albert Popp du centre de radiologie de Merbourg qui découvrit que l'énergie était transmise par un rayonnement ultra faible de photons (UV) qu'il appela chimioluminescence sombre. Il découvrit aussi que l'information reçue par le corps se transmettait à l'intérieur de celui-ci par les cellules qui servaient de relais.

Vlaïl Kaznatcheyev continua les travaux et après plus de 15000 expériences rigoureuses à l'Institut de Novossibirsk il mit en évidence, en respectant un protocole précis, la possibilité de transmettre l'information de cellules intoxiquées à d'autres cellules saines situées à, plusieurs mètres dans un récipient et constata que, au bout de 3 à 4 heures, elles étaient infectées et mouraient à leur tour.

Ces rayonnements qui peuvent provoquer la mort peuvent aussi guérir, c'est ce qui se passa avec la machine de Prioré.

Tsiang Kan Zheng, chinois vivant en Russie est allé encore plus loin dans ces transmissions énergétiques et informationnelles. Ces travaux nous font froid dans le dos car avec Tsiang Kan Zheng, nous entrons dans le royaume des chimères.

Texte de la revue AURA- Z n° 3 1993



Nous vous présentons un savant dont les mérites sont bien connus de ses collègues, mais que la science "officielle" a longtemps passé sous silence. Tsiang Kan Zheng... Ce nom n'a pas besoin de commentaires. Il inspire des sentiments qui vont du respect à la peur. Les uns éprouvent à son égard une profonde gratitude ; d'autres, une méfiance mêlée de curiosité. Au Moyen Age, le docteur Tsiang aurait sans doute fini sur l'échafaud. A l'avenir, il sera peut-être tout aussi vénéré qu'Albert Einstein ou Constantin Tsiolkovsky...
 

Celui qui devance son époque se heurte nécessairement à des difficultés. Le cas du docteur Tsiang Kan Zheng ne fait pas exception.

Sans nous attarder sur les détails de sa biographie, qui ne sont pourtant pas dénués d'intérêt (quatre années de prison sous la "révolution culturelle" en Chine, évasion, passage clandestin de la frontière soviétique en 1971, misérable existence d'apatride menée à Khabarovsk, naturalisation en 1989), nous tenons néanmoins à en retracer les étapes principales :

- né en 1933 à Changtu (province de Liaoning) dans la famille d'un directeur d'école ;
- diplômé de l'Université Chinoise de Médecine (1959) ;
- études de la cybernétique, de la mécanique quantique et de la radiotechnique.

Au début des années 60, Tsiang Kan Zheng a formulé une hypothèse selon laquelle les molécules et les atomes de l'organisme vivant sont NECESSAIREMENT liés entre eux par des champs bio-électromagnétiques qui constituent le SUPPORT MATERIEL de l'énergie et de l'information.

Au cours des années suivantes, il s'est employé à obtenir des preuves à l'appui de son hypothèse.
Ses recherches ont abouti à une DECOUVERTE SENSATIONNELLE : la possibilité de transfert directif de l'information génétique, biologique et psychique à l'aide d'un rayonnement bio-électromagnétique à ultra- hautes fréquences (bio-transmission à U.H.F.). Mieux, il a réussi à opérer ce transfert au moyen d'un appareil conçu à cet effet.

Les premières expériences de ce genre ont été effectuées par Tsiang Kan Zheng dans les laboratoires de l'Université Chinoise. Leurs résultats se sont confirmés par la suite lors des investigations qu'il a menées à Khabarovsk.

De temps en temps, la presse soviétique a consacré des reportages au docteur Tsiang, qualifiant ses travaux de "recherches sensationnelles, à la frontière du réel et du fantastique". Mais les autorités officielles du pays gardaient le silence. Et ce, malgré le fait que dès 1974, le savant avait déposé une demande d'enregistrement de sa découverte. Il n'a pas non plus reçu de réponse aux lettres qu'il avait adressées aux instances supérieures : à Brejnev, Andropov, Tchernenko, aux praesidiums, aux ministères, académies...

Deux choses l'ont aidé à riposter aux coups du sort : ses CONNAISSANCES et surtout la foi qu'il avait en ses forces et sa PREDESTINATION...

L'année 1989 a marqué un tournant dans sa carrière. Cette année, Tsiang Kan Zheng a présenté à Novossibirsk un rapport sur la transmission de l'énergie biologique à U.H.F. pendant un séminaire spécialement consacré à ce thème. Dirigé par l'académicien V. Kaznatchéev, le séminaire a réuni environ 130 scientifiques, ainsi que des responsables de l'Académie des Sciences, de l'Académie de Médecine et de l'Académie de l'Agriculture.
La théorie du docteur Tsiang fut enfin reconnue. Une fondation spéciale et un centre de recherche ont été institués. Ceux-ci ont permis au savant de poursuivre ses travaux.

La parole est à Tsiang Kan Zheng :

A l'heure actuelle, le phénomène de rayonnement bio-électromagnétique dans l'organisme vivant est attesté. On sait que l'A.D.N. (acide désoxyribonucléique) est le porteur de l'information génétique. Les récentes découvertes en physique m'ont amené à supposer que l'A.D.N. n'est qu'une cassette avec enregistrement de l'information, tandis que les signaux bio-électromagnétiques en sont le support. En d'autres termes, le champ électromagnétique et l'A.D.N. constituent une MATIERE GENETIQUE COMBINEE existant sous deux formes : passive (A.D.N.) et active (champ bio électromagnétique). Cela dit, la forme passive sert à conserver l'information génétique, alors que la forme active est en mesure de la modifier.

Dans quelle gamme de fréquences s'exerce le rayonnement bio-électromagnétique ?
Les signaux bio-électromagnétiques (à savoir ceux qui transmettent l'énergie et l'information) sont des photons qui revêtent, selon la théorie des quanta, un caractère à la fois corpusculaire et ondulatoire.

Le caractère corpusculaire du photon implique l'utilisation des basses fréquences, car dans ce cas, il devient possible d'obtenir de l'organisme un maximum d'information : plus la fréquence du photon est basse et plus son énergie est faible. Par conséquent, l'énergie limitée de l'organisme pourra exciter le plus grand nombre de photons.
Cependant, le caractère ondulatoire du photon nous amène à étudier la bande U.H.F. du spectre. Cela permettrait d'effectuer la "lecture" de l'information génétique, tout en assurant une excellente qualité de sa transmission.

SCHEMA GENERAL DE L'INSTALLATION "BIO-TRANSMISSION A U.H.F." :

1 - récepteur ;
2 - ligne de transmission dotée d'un bloc régulateur ;
3 - émetteur.
 

L'installation assure la "lecture" de l'information génétique contenue dans l'A.D.N. d'un organisme vivant et sa transmission à un autre organisme vivant.



Il s'ensuit donc que le champ bio-électromagnétique (support de l'énergie et de l'information) se manifeste dans la bande U.H.F. et dans celle des rayons infrarouges. Effectuées en laboratoire au moyen d'une installation spéciale, les expériences qui consistent à transmettre l'information génétique d'un organisme vivant à un autre ont donné des résultats positifs. Les recherches sont actuellement menées dans l'agriculture (amélioration des plantes et sélection des animaux), la médecine (traitement des maladies, rajeunissement de l'organisme) et la génétique.

Résultats des expériences relatives à l'amélioration de plantes et à la sélection d'animaux.

Action exercée par le champ bio-électromagnétique de germes de blé (donneur) sur des plantules de maïs (percipient).

La variété obtenue avait une multitude de tiges latérales. A la place des panicules, on a vu se former des épis avec des grains qui rappelaient à la fois ceux de blé et ceux de maïs. Les plantes soumises à l'expérience ont surpassé les plantes témoins de 300% pour la productivité de la masse végétale et de 200% pour celle des grains. Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes.

 

Action exercée par le champ bio-électromagnétique d'un canard (donneur) sur des oeufs de poule (percipient). Des 500 oeufs de poule soumis à l'action du champ bio-électromagnétique d'un canard, on a vu naître 480 poussins caractérisés par une série de modifications génétiques : pattes palmées (25%), tête plate comme celle d'un canard (80%), long cou (70%), yeux s'ouvrant dans la partie moyenne (90%). Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes.

Rajeunissement de l'organisme

En tant que médecin, je m'intéresse particulièrement à ce problème. Les premières expériences de rajeunissement ont été effectuées sur de vieilles souris. Celles-ci ont été soumises au rayonnement bio-électromagnétique émanant de jeunes plantes et d'embryons d'animaux.
Ces expériences ont donné les résultats suivants :

- rétablissement des fonctions sexuelles et de la capacité de reproduction chez 31% des sujets - augmentation de la durée de vie de 53% des sujets (de 12 à 18 mois par rapport au groupe témoin) - amélioration de l'appétit, de la réaction, de la motilité chez 68% des sujets

En 1987, j'ai effectué sur moi-même une expérience analogue qui s'est soldée par des résultats positifs. Le volontaire suivant a été mon père âgé de 80 ans.

A la suite du traitement, les maladies chroniques qui le tenaillaient depuis 20 à 30 ans ont disparu, de même que l'allergie cutanée, le bourdonnement d'oreille (acouphène) et la tumeur bénigne ; six mois plus tard, des cheveux ont repoussé à l'endroit de la calvitie et les cheveux gris sont redevenus noirs. Un an après l'expérience, une dent a repoussé sur l'emplacement de celle arrachée 20 ans plus tôt.

Les résultats positifs obtenus dans ce domaine ont servi de fondement pour délivrer, en 1991, au docteur Tsiang Kan Zheng un brevet d'invention sur le thème "Méthode de rajeunissement de l'organisme" et un certificat du ministère de la Santé Publique de Russie autorisant la thérapeutique U.H.F.

Justification théorique de la méthode de rajeunissement

En biologie, il existe une loi selon laquelle la durée moyenne de la vie des mammifères est de 5 à 7 périodes de développement physiologique. Par conséquent, la durée de vie d'un homme doit varier de 125 à 175 ans, car la période de son développement est de 25 ans. En réalité, elle dépasse rarement 3 périodes.

J'estime que le vieillissement de l'organisme tient à la dégradation des structures subtiles des gènes actifs. Cela dit, le rétablissement de ces structures se révèle impossible. Les gènes actifs constituent tout juste 0,2% à 2,0% de la totalité des gènes présents dans l'organisme.

Le rayonnement bio-électromagnétique émanant de jeunes organismes qui appartiennent à d'autres espèces que les vieux parvient à activer chez ces derniers les gènes qui ne s'expriment pas (gènes inactifs). Ce processus déclenche des réactions propres à l'ontogenèse et à la régénération.



Résultats du traitement U.H.F. (y compris la méthode de rajeunissement)

L'autorisation donnée par le ministère de la Santé Publique de Russie m'a permis de procéder aux essais cliniques de la méthode U.H.F. Quatorze volontaires ont accepté de suivre le traitement :

Nombre de sujets 40 à 50 ans 51 à 60 ans 61 à 70 ans 71 à 80 ans TOTAL
Hommes 2 5 3 1 11
Femmes 1 2 0 0 3
Total 3 7 3 1 14

Du point de vue nosologique, les maladies étaient réparties comme suit : athérosclérose (5 cas), sténocardie (2), congestion cérébrale (2) ulcère de l'estomac (4), hépatite (5), ostéochondrose vertébrale (6), arthrose (2), eczéma (3), psoriasis (1), névrose (1) et tumeur bénigne (2). Cela faisait 37 au total cas d'affections de 11 types pour 14 sujets, soit près de 3 affections par sujet.

Résultats du traitement :
Guérison complète dans 6 cas, dont la tumeur bénigne ; amélioration considérable de l'état de santé dans 21 cas ; amélioration relative dans 8 cas ; sans effet dans 2 cas.
Résultats obtenus en matière de rajeunissement :

- amélioration de l'état général de santé : 12 personnes
- amélioration du physique ("rajeunissement" de 5 à 10 ans) : 11 personnes
- disparition de la canitie : 9 personnes
- activation des fonctions sexuelles : 7 personnes

Traitement du cancer

Le traitement du cancer et du SIDA, ainsi que l'inhibition de l'immunodépression due à la greffe d'organes tiennent une place particulière dans mes recherches.

Les premiers résultats positifs ont été obtenus il y a plus de 20 ans, à l'époque où nous avons effectué une série d'expérience consistant à transmettre l'information génétique de dix lapins (auxquels nous avions inoculé des cellules cancéreuses) à un groupe de 300 souris atteintes de cancer artificiellement provoqué.

On sait que le cancer ne frappe jamais les lapins. Leurs forces immunes stimulées par le vaccin ont aidé la plupart des sujets d'expérience (70%) à surmonter la maladie. Dans le groupe témoin, les 300 souris qui avaient un cancer artificiellement provoqué ont péri.

Quand j'étais laborantin à l'Institut de Médecine de Khabarovsk (1973-1978), j'ai mené des recherches sur le thème "La lutte contre le cancer au moyen de la bio-transmission à U.H.F.". En 1991, j'ai fait breveter ma méthode visant à normaliser les réactions immunitaires en cas de traitement du cancer et de transplantation d'organes.

Recherches immunologiques

Les essais de la méthode de rajeunissement se sont déroulés parallèlement aux recherches immunologiques effectuées dans les principaux laboratoires cliniques de Khabarovsk.
Ces recherches portaient sur divers éléments du système immun :

Phagocytes
T-lymphocytes
T-lymphocytes "actifs"
T-helpers
T-suppresseurs
B-lymphocytes
Leucocytes
Immunoglobulines A
Immunoglobulines G
Immunoglobulines M

Les données obtenues ont permis d'arriver aux conclusions suivantes :

1 - on parvient à optimiser la phagocytose de manière à assurer la réaction adéquate de l'organisme lors de sa réponse immunitaire à la pénétration d'agents pathogènes. Cela dit l'effet du rayonnement bio-électromagnétique dépend essentiellement de l'état de l'organisme : lorsque la fonction des macrophages est affaiblie, le rayonnement bio-électromagnétique arrive à la normaliser ou à la rapprocher de la norme. Toutefois, il demeure sans effet en cas de fonctionnement normal des macrophages.

2 - La dynamique des T-lymphocytes atteste l'action régulatrice et stimulante du rayonnement bio-électromagnétique sur ceux-ci.

3 - La méthode de rajeunissement sert également à régler l'activité des lymphocytes. Cela signifie que le fonctionnement des cellules immunocompétentes a été soit rapproché de la norme physiologique, soit complètement normalisé, ce qui permet d'utiliser le rayonnement bio-électromagnétique en tant que moyen d'immunocorrection.

4 - La dynamique des T-helpers montre la tendance des valeurs extrêmes vers la norme. Il y a lieu de croire que le champ bio-électromagnétique déclenche le mécanisme d'adaptation et d'autorégulation du système immun, ce qui sert à entretenir l'équilibre homéostatique.

5 - Pour donner une caractéristique complète du comportement des T-suppresseurs et en déterminer la dynamique, il serait judicieux de choisir des groupes d'organismes présentant des modifications pathologiques bien déterminées :
- état pathologique caractérisé par une hyperactivité des cellules immunocompétentes (auto-immunité, allergie)
- état pathologique caractérisé par l'insuffisance du système immun (immunodéficience)
- état d'immunité sans changements
Cette approche de la formation des groupes d'organismes sera également adoptée lors de l'examen d'autres populations de T-lymphocyctes, ainsi que de T-helpers et de B-lymphocyctes.

6 - Chez les sujets caractérisés par une insuffisance d'immunoglobulines A, le rayonnement bio-électromagnétique a entraîné une augmentation de cet indice, ce qui atteste l'activation des processus de défense et de réparation dans l'organisme, y compris au niveau du système immun. En cas de fonctionnement normal du système immun, l'effet du rayonnement bio-électromagnétique est pratiquement nul.

7 - Pour le moment, il est impossible d'aboutir à des conclusions définitives quant à l'évolution des leucocytes : cet indice doit être examiné parallèlement à la dynamique des lymphocytes, des T- lymphocytes et à la phagocytose, en partant des particularités qui caractérisent l'état initial du système immun.

Les résultats obtenus permettent d'affirmer que l'action exercée sur l'organisme humain par le rayonnement bio-électromagnétique crée des conditions susceptibles de déclencher dans le système immun des processus de défense, de réparation ou de compensation entraînant la guérison et le rajeunissement de l'organisme.

Commentaires

Je connais le docteur Tsiang Kan Zheng depuis près de 20 ans et je suis attentivement ses recherches. Auteur d'une méthode foncièrement nouvelle, il utilise, pour ses expériences, une installation spéciale qui assure la transmission des ondes bio-électromagnétiques dans la bande des ultra-hautes fréquences.
Je connais certains de ses travaux en la matière. Ainsi, sous l'action du champ bio-électromagnétique transmis de plantules de blé à des germes de maïs, on a vu se former des épis contenant des grains qui rappelaient à la fois ceux de blé et ceux de maïs. La plante obtenue à la suite de l'expérience était celle de maïs, mais qui avait plusieurs tiges, ainsi que c'est le cas du blé.

En 1991, j'ai personnellement utilisé des semences d'orge irradiées par le champ bio-électromagnétique du blé. Elles ont donné une espèce caractérisée par une vitalité plus grande. Les modifications enregistrées se sont transmises aux générations suivantes, comme le démontrent mes expériences effectuées en 1992.

Je considère que la découverte de Tsiang Kan Zheng peut être appliquée à grande échelle. Je propose également de fonder un laboratoire en vue d'étudier sa méthode sous tous les rapports.


Grigori Kazmine,
Directeur du Centre de recherches agricoles d'Extrême-Orient, membre titulaire de l'Académie d'Agriculture de Russie Khabarovsk, le 29.04.1993



 

Depuis 15 ans je m'intéresse aux travaux de Tsiang Kan Zheng relatifs à la transmission de l'information biologique d'un organisme vivant à un autre au moyen d'une installation spécialement conçue à cet effet. Si les résultats qu'il a obtenus se confirment et se trouvent corroborés par des expériences d'autres chercheurs, sa théorie sera digne de figurer parmi les plus grandes découvertes du XXe siècle. C'est pour cela qu'il faut encourager les travaux du docteur Tsiang et créer un laboratoire spécial pour étudier ses méthodes. Ce laboratoire est d'autant plus nécessaire que les chimères génétiques résultant de ses recherches sont une réalité. Elles doivent être étudiées du point de vue cytologique, cytogénétique et histologique.

J'ai personnellement répété certaines expériences de Tsiang Kan Zheng à l'aide d'une installation assurant un spectre d'ondes électromagnétiques qui allait des ultra-hautes fréquences aux rayons infrarouges et dont les caractéristiques harmoniques étaient proches de celles qui, selon la supposition du docteur Tsiang, contribuaient à transmettre l'information génétique d'un organisme à un autre. En qualité de sujets, j'ai choisi des chlamydomonades et les chromosomes polyptènes des glandes salivaires de chironomidés. Après être exposées pendant 15 minutes aux ondes électromagnétiques précitées, les chlamydomonades ont subi une métamorphose quant à leur forme, alors que les chromosomes de chironomidés ont connu une série de modifications au niveau génétique (augmentation de la polyténie par rapport à une culture témoin). Ceci atteste que les ondes en question exercent une puissante action génotrope sur les organismes étudiés, sans en perturber les fonctions vitales et la capacité de reproduction, à la différence des mutations provoquées par le rayonnement électromagnétique ayant d'autres fréquences et oscillations harmoniques. J'estime que la méthode proposée par Tsiang Kan Zheng pourrait trouver une vaste application en médecine, agriculture et dans les recherches génétiques.


Youri Simakov,
Professeur, docteur d'Etat en biologie, membre titulaire de l'Académie Internationale d'Informatique Bien que la structure de l'appareil de Tsiang Kan Zheng et le principe de son fonctionnement soient connus, ses recherches appellent toutefois une foule de questions...


 

J'attire l'attention des lecteurs tout d'abord sur leur aspect moral. A mon avis, on pourrait "pardonner" au savant ses premières expériences "négatives" ("poules-canards", "chèvres-lapins", etc.), leur objectif étant de démontrer l'efficacité de son installation. Quant à ses expériences "positives" (irradiation d'un concombre par le champ électromagnétique d'un melon ou d'un tournesol par celui d'une arachide), elles sont beaucoup plus intéressantes.

Cependant, nul besoin d'avoir une imagination très fertile pour se figurer les multiples variantes de l'action que l'on pourrait exercer sur la matière vivante selon cette méthode. Action d'autant plus aléatoire que ses conséquences sont imprévisibles ? Effectivement : qui peut nous garantir qu'en voulant faire du bien, on ne fera pas de mal ?

Sur ce plan, certaines expériences du docteur Tsiang me semblent douteuses. Je pense à sa tentative de transmettre, à des fins médicales, l'information génétique d'un porc à un homme souffrant d'un ulcère à l'estomac (le choix du porc s'expliquait par le caractère omnivore de cet animal et par la similitude existant entre son appareil digestif et celui de l'homme). Et même si, comme l'affirme Tsiang Kan Zheng, ce procédé de traitement s'est révélé efficace, il comporte néanmoins un risque de mutations génétiques.

C'est pour cela que l'on doit faire preuve de prudence et de pondération dans l'appréciation des expériences de ce genre. Avant d'y procéder, il faut se demander où l'on veut en venir et à quel point les résultats obtenus seront justifiés. A mon avis, il est nécessaire de soumettre les conceptions scientifiques du docteur Tsiang à une expertise minutieuse et d'établir un contrôle sur ses expériences. Si leurs résultats se confirment, la découverte qu'il a faite doit appartenir à toute l'humanité et non pas à un seul pays.


Vu l'importance exceptionnelle de cette découverte, je propose d'instituer une Fondation internationale de soutien à Tsiang Kan Zheng et une Commission internationale de contrôle sur ses recherches.

Alexandre Avchaloumov,
directeur de la revue "AURA-Z"
Tel : (095) 925.76.79
Fax : (095) 422.09.60



Quant'Homme remercie " Ankalagon " d'avoir passé du temps sur ce document et surtout de nous avoir transmis ce texte sous format word pour que tous profitent de ses efforts de transcription !

 

Medecine

Les articles sur l'électrogmatisme utilisé en tant que medecine.

Georges Lakhovsky : un précurseur de la médecine électromagnétique hautes fréquences

Georges Lakhovsky (1869-1942) biophysicien d’origine russe mais de nationalité française, fut un précurseur en matière d’utilisation d’ondes électromagnétiques de haute fréquence à visée thérapeutique. Il était contemporain et ami de Nikola Tesla auprès duquel il a utilisé le savoir-faire en électromagnétisme pour construire son émetteur-oscillateur multi ondes. Ses théories avant-gardistes fondées sur une connaissance approfondie de la biologie et de la physique, établissaient non seulement les fondations d’une thérapeutique prometteuse mais aussi des concepts révolutionnaires sur la nature du temps, de l’espace, de la matière, de l’énergie et de l’information !

Initialement il s’agissait d’utiliser une information-signification à visée thérapeutique, portée par les signaux physiques d’ondes de nature électromagnétique, et transmise à l’organisme qui la recevait, la décryptait et l’utilisait.

la suite sur http://www.amessi.org/Lakhovsky-un-visionnaire-hors-du

La médecine du 21ème siècle sera électromagnétique

Entretien extrait de http://www.nouvellescles.com/

Règne de la fée Electricité et Age de la communication obligent : d’innombrables ondes et champs électromagnétiques d’origine artificielle surchargent aujourd’hui notre environnement. Mais que savons-nous de leur influence sur les êtres vivants ? Dans un reportage fascinant diffusé en 2002 sur Arte, puis publié sous la forme de livre qui vient de sortir en poche - Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent, coll. Espaces Libres, Albin Michel) -, Jean-Pierre et Laurence Lentin dressent le bilan des connaissances actuelles.

[i]Nouvelles Clés[/i] : Votre enquête concerne évidemment, en premier lieu, les dangers de l’électromagnétisme artificiel pour la santé. Et certes, en se promenant sous une ligne à haute tension par temps de pluie ou, pire encore, de neige, il est facile d’attribuer à tous ces grésillements un vilain air de menace. “Frayeurs obscurantistes”, semble répondre le discours scientifique officiel français. Et c’est la même fin de non recevoir pour les effets du téléphone portable. Bref, sauf en cas de contact direct avec un circuit ou d’échauffement des tissus, la plupart de l’électromagnétisme artificiel présent dans notre environnement serait sans aucune action sur le vivant. Pourtant l’Assemblée Nationale a adopté en juin 2000 une loi interdisant la construction d’habitations et d’établissements publics sous les lignes à haute tension. Toute cette ambiguïté se retrouve d’ailleurs dans l’attitude face aux thérapies électromagnétiques. Alors, pourquoi en sait-on si peu ?

[i]Jean-Pierre Lentin[/i] : Dès la découverte de l’électromagnétisme, certains pensent à ses effets sur le vivant, positifs ou négatifs. Des appareils de thérapie électromagnétique apparaissent vers 1880, et des recherches un peu plus sérieuses commencent quelques décennies plus tard. Et là, première surprise et premier élément de réponse : c’est essentiellement la science soviétique qui s’intéresse à ce domaine, donnant aujourd’hui à la Russie une avance certaine. Pour expliquer le retard pris par l’Occident, il faut en effet tenir compte de l’énorme pression exercée en faveur de la chimie pharmaceutique, dont les premiers succès datent de la même époque. Citons le cas emblématique de John D. Rockfeller qui, après avoir fait fortune dans l’industrie minière et pétrolière, s’est reconverti dans l’industrie chimique. Voyant l’énorme potentialité de l’industrie pharmaceutique à base de chimie, il a investi massivement dans la recherche médicale. Il a inondé les universités de crédits, de bourses, de subventions, alors que jusque là les industriels le faisaient peu. De fait, le système de financement privé de la science aux Etats-Unis a incité les chercheurs à se consacrer à la recherche chimique. On compte ainsi plusieurs cas connus de répression ou de suppression active des recherches dans les domaines qui concurrençaient le modèle chimique. De leur côté, les compagnies industrielles basées sur l’électricité (ou les armées, avec les radars) n’avaient pas intérêt à conduire ou à financer des études risquant de prouver que les champs magnétiques et électriques ont un effet sur la santé. Cela faisait beaucoup pour une discipline à peine naissante ! L’étude du bio-électromagnétisme s’est donc très peu développée en Occident, et toujours grâce à des chercheurs marginaux ou à des scientifiques qui, bien que plus conventionnels, étaient isolés dans leur université et considérés comme des gens un peu bizarres.

[i]N. C.[/i] : C’est donc de Russie, ou plutôt d’Union Soviétique, que sont venues les découvertes ?

[i]J.-P. L.[/i] : La réputation de la science soviétique n’est plus à faire, malgré la bureaucratie ou les lubies de dirigeants qui, parfois, faisaient se fourvoyer tout un secteur, comme Lyssenko avec la génétique. Un chercheur qui ne se heurtait pas de front à ces interdits disposait d’une certaine liberté. Quand il s’est agi de mesurer les effets de l’électromagnétisme sur la santé, par exemple, l’intérêt scientifique a rencontré l’idéologie prônant la protection du travailleur, et les résultats ne se sont pas fait attendre : les normes de sécurité sont aujourd’hui encore en Russie beaucoup plus draconiennes que chez nous. L’armée, quant à elle, ne s’en est pas souciée, puisqu’elle avait de toute façon tous les droits. (On sait qu’aux Etats-Unis l’armée a d’abord financé puis étouffé les études sur les effets des émissions radar de forte puissance en zone habitée.) D’autre part, la recherche d’utilisations thérapeutiques était favorisée par la pénurie chronique de médicaments.

[i]Laurence Lentin[/i] : Nous savions donc que la recherche russe était en avance. La deuxième surprise, et le deuxième sujet de notre reportage, c’est que nous ignorions à quel point : à Moscou, à Saint-Petersbourg, à Kiev en Ukraine (les trois écoles les plus réputées) comme dans toute l’ex-Union Soviétique, la thérapie électromagnétique est couramment employée pour de multiples applications, dans les hôpitaux publics et dans des centres privés. Et, au dire de tous les médecins, avec un grand succès.

[i]N. C.[/i] : Dans quels domaines ?

[i]J.-P. L. [/i]: C’est un vivier énorme. Pour notre enquête, nous avons fait un tri en nous adressant aux personnalités russes les plus reconnues, recroisant nos informations auprès d’autres experts mondiaux de la discipline réunis lors du congrès international de bio-électromagnétisme à Munich. Nous avons finalement retenu quatre techniques principales. En premier lieu vient la thérapie par les ondes millimétriques, des micro-ondes d’une fréquence encore plus rapide que les micro-ondes classiques (au-delà de 5 gigaHertz, contre 2,5 gigaHertz pour un four, de 0,9 à 1,8 gigaHertz pour le téléphone portable et 3 ou 4 gigaHertz pour le prochain système de téléphonie mobile UMTS). Les Français ont été parmi les premiers à découvrir ces ondes, mais très rapidement ce sont les Russes qui en sont devenus les spécialistes, construisant des émetteurs reconnus comme les meilleurs du monde. Particulièrement difficiles à créer, les ondes millimétriques ont servi aux radars (plus une onde est rapide, plus elle est pénétrante), puis à l’analyse des matériaux. Les Russes, avec leur culture en bio-électromagnétisme, se sont demandés dès les années 60 quels effets elles pouvaient avoir sur le vivant. Ils ont soumis à leur rayonnement des levures, des algues, des cultures de cellules. Bingo ! Pour certaines fréquences très précises, ils obtenaient des doublements, des triplements, voire des décuplements de la croissance cellulaire. Leurs premières utilisations médicales ont été conduites par l’institut de cancérologie et on s’en sert largement aujourd’hui, non pour combattre le cancer directement, mais pour aider l’organisme à résister aux radiations et à la chimio. Les médecins ont aussi travaillé sur la cicatrisation, la repousse des os, la réduction des oedèmes et des inflammations, les maladies de peau et les affections qualifiées là-bas de neurologiques et chez nous de rhumatismales : arthrose, tendinite, mal au dos, etc.

[i]L. L.[/i] : Il faut voir, à Moscou, l’impressionnant Hôpital N° 15, qui ressemble à une immense barre HLM, où nous avons rencontré la grande spécialiste des ondes millimétriques, Natalia Lebedeva, et sa fille Anastassia qui dirige le service de cardiologie. C’est là qu’on envoie les Moscovites victimes d’un infarctus, tous sont traités à l’aide d’une petite machine à ondes millimétriques, dont on a constaté qu’elles ralentissaient les battements cardiaques et aidaient le muscle à récupérer. Elles stimulent la réparation des tissus, ont un effet antioxydant, renforcent la capacité des cellules à résister à l’infection et à l’inflammation.

[i]N. C.[/i] : Les Russes ont mené des études thérapeutiques rigoureuses, ils ont des données précises ?

J.-P. L. : Hélas ! Ils n’ont pas souvent employé nos protocoles draconiens, avec placebo et procédures en double aveugle, etc. Ils sont aussi passés un peu trop vite, au goût nos savants, des expérimentations animales aux applications humaines. Toutes les études cliniques seraient donc à refaire pour obtenir des homologations dans les pays occidentaux, un processus qui coûte très cher, ce qui nous ramène à l’ostracisme dont souffre la biologie électromagnétique (ses moyens humains et financiers sont environ mille fois inférieurs à ceux de la biologie moléculaire). Certes, dans d’autres domaines que celui des ondes millimétriques, la médecine occidentale s’est un peu ouverte aux techniques russes. Les champs magnétiques pulsés, par exemple, sont homologués aux Etats-Unis par la Food and Drug Administration depuis 1979 comme thérapie permettant de soigner les fractures particulièrement récalcitrantes (les non-union fractures). Mais il a fallu qu’un investisseur privé trouve les moyens de financer cette recherche précise, pour cette application précise.

Et en France les orthopédistes ne veulent toujours pas en entendre parler !

[i]L. L.[/i] : A l’institut de biophysique cellulaire de Pouschino, la grande cité scientifique à 100 km de Moscou, on a déjà dépassé tout ça, même si les locaux tombent en ruine et que les laboratoires sont dépeuplés - il faut dire que la recherche russe est aujourd’hui dans une misère noire, un chercheur gagne à peine cent dollars par mois ! Et pourtant, ils sont en train d’obtenir des résultats contre le cancer et la maladie d’Alzheimer, avec des champs magnétiques pulsés de très faible intensité.

[i]J.-P. L.[/i] : En Occident, il y une seule autre application pour les champs magnétiques, cette fois très intenses : en neuropsychiatrie, ils semblent avoir un effet sur les dépressions graves. Cette méthode découverte par les Américains est depuis peu à l’essai à Paris (à la Salpétrière), à Créteil et à Lyon.

[i]N. C. [/i]: Vous voyez bien que l’on s’y met, et personne ne se plaindra d’un luxe de précautions ! N’y aurait-il pas des raisons plus fondamentales, liées à cette discipline elle-même, pour expliquer les réticences occidentales ?

J.-P. L. : Bien sûr, il y a de nombreux problèmes. D’abord, la complexité des phénomènes en biologie cellulaire rend les expériences extrêmement difficiles à reproduire d’un labo à l’autre. Une des raisons, c’est que le champ magnétique terrestre entre en ligne de compte, d’une manière qu’on ne sait absolument pas quantifier, et que ce champ varie géographiquement, il est aussi modifié par les bâtiments, donc il n’est jamais identique d’un endroit à l’autre. Certains chercheurs estiment qu’ils faudrait faire les expériences à -600 mètres, pour que le champ magnétique ne subisse aucune influence ! Mais le problème est aussi médical : la médecine russe partage avec la médecine chinoise une vision énergétique de l’être vivant. Les différentes techniques électromagnétiques s’appliquent en des points précis, issus de la “réflexothérapie”, nom que les Russes donnent à l’acupuncture. Quand on sait que celle-ci tient encore du charlatanisme aux yeux de notre médecine officielle, on comprend la difficulté !

La troisième technique importante employée en thérapie, après les ondes millimétriques et les champs magnétiques pulsés, offre un excellent exemple de l’incompréhension qui règne ici. Il s’agit des courants électriques, que l’Occident connaît bien puisqu’ils servent notamment aux kinésithérapeutes pour calmer la douleur (les stimulateurs électriques nerveux transcutanés).

Ça chauffe un peu, le courant est assez fort, une utilisation prolongée annule les effets à cause de l’accoutumance, et à la longue ça peut être cancérigène. Mais ça rentre dans le modèle admis : effet = échauffement. Les Russes, eux, utilisent des micro-courants électriques, mille fois moins intenses, mais appliqués sur les “zones réflexes” et les points d’acupuncture. Et ça donne des résultats spectaculaires, notamment contre les toxicomanies. Nous avons visité un centre où on soigne le tabagisme et l’alcoolisme, avec une espèce de couronne électrique inventée dans les années 70 par un ingénieur du spatial, Boris Bourenko, initialement pour soigner les cosmonautes victimes du mal de l’espace. Les Russes s’inspirent aussi, parfois, de découvertes occidentales en médecine alternative, mais ils les développent et elles rejoignent vite la médecine officielle. Dès qu’il y a des résultats, ces médecines sont homologuées par le Ministère de la Santé, même si leurs principes restent assez mystérieux. C’est le cas, à Moscou, du centre IMEDIS de Youri Gotovsky, à partir d’une technique créée dans les années 60 par un Allemand, Reinholdt Voll, qui consiste à mesurer la résistivité des points d’acupuncture par rapport à une valeur normale, puis à rétablir l’équilibre. L’électro-acupuncture et ses rejetons comme les méthodes Mora, Vega ou Bicom, malgré leur succès en Allemagne et en Autriche, sont toujours restées des thérapies alternatives en Occident. Car là, on entre de plain pied dans le cœur du problème : on débouche directement sur l’homéopathie !

[i]N. C. [/i]: Pourquoi est-ce le cœur du problème ?

[i]L. L. [/i]: Parce que ces thérapies reposent sur l’idée d’une bio-résonance électromagnétique. C’est un apport d’information à l’organisme, et non un processus mécanique comme en chimie médicamenteuse. Les Russes, et aussi les Ukrainiens qui sont très en pointe dans ce domaine, ont informatisé le diagnostic issu des points d’acupuncture et de la détection des ondes émises naturellement par le corps. Et ils vont encore plus loin, ils enregistrent sous forme électromagnétique la “signature” des substances à prescrire, et à la fin de la consultation le médecin branche une petite machine, y place des granules neutres de saccharose et les irradie avec les fréquences de ces substances, numérisées dans l’ordinateur. C’est de l’homéopathie électromagnétique.

[i]N. C.[/i] : Et pour espérer comprendre un jour, il faut dépasser notre vision chimique moléculaire du vivant, de l’homme, de la médecine, et adopter une vision électromagnétique ?

[i]J.-P. L. [/i]: C’est à notre avis l’étape suivante. En termes de communication, le modèle chimique de la clé et de la serrure est insuffisant : il faut une molécule qui s’emboîte dans une autre molécule pour déclencher un processus, cela devient vite un peu fou, car il y a des milliards de molécules dans une cellule, et de nombreux phénomènes restent inexplicables. A l’évidence, il existe d’autres méthodes de communication plus performantes. La preuve, c’est que nous nous en servons pour communiquer dans le monde entier avec nos portables, nos radios, nos télés, etc. Pourquoi le vivant ne ferait-il pas pareil ? Quoi de mieux, pour communiquer, que d’émettre une fréquence que seuls les “bons” détecteurs cellulaires capteront, par résonance, déclenchant une réaction ciblée ? Au congrès de Munich, le sujet de questionnement principal était : “S’il n’y a pas d’échauffement, alors qu’est-ce que c’est ?”. C’est de l’information, en fait, un signal reconnu par la cellule. Et cette notion ne “passe” pas facilement ! A propos des ondes millimétriques, les Russes avancent pourtant une hypothèse intéressante. Souvenons-nous que les étoiles, pour nous principalement le soleil, émettent sur toutes les longueurs d’onde, à toutes les fréquences. Or, les ondes millimétriques sont pratiquement les seules à être entièrement absorbées par l’eau dans la haute atmosphère. Sur Terre, elles sont totalement absentes de l’environnement naturel. Du coup, celles émises par la matière vivante rencontrent moins d’interférence, moins de brouillage. Le vivant les aurait-il “choisies” précisément pour cette raison, pour servir de véhicule à ses communications ? Autre piste proposée depuis les années 60 par l’institut de biophysique de Pouschino et portant sur l’activité cellulaire elle-même : on sait que l’un des facteurs de régulation de cette activité est la quantité d’ions calcium qui traversent la membrane cellulaire. Ces ions entrent et sortent selon un rythme connu, cyclique. Il n’est pas difficile de supposer que ce rythme puisse être affecté par d’autres phénomènes cycliques : il suffit qu’une oscillation de même fréquence, ou multiple ou sous-multiple de cette fréquence, entre en résonance ou en interférence, et inhibe ou augmente le rythme naturel.

[i]L. L. [/i]: A l’Hôpital 23 de Moscou, une bâtisse lugubre et complètement délabrée, le docteur Yossif Blinkov a appliqué ce raisonnement aux organes eux-mêmes, suite d’ailleurs à des travaux de médecins franàais totalement inconnus ici, Ferrer et Saulnier de Marantes. Nos organes ne sont pas seulement soumis à des rythmes circadiens, mais aussi à des rythmes internes, en Hertz (un Hertz, c’est un cycle par seconde) ou en fractions de Hertz, parfaitement réguliers. Blinkov a mis au point des appareils magnétiques pour restaurer le rythme naturel de différents organes, et nous avons vu sa collaboratrice Ludmilla Khazina les appliquer dans son centre de réflexothérapie - un centre semi-privé, très différent des hôpitaux, très clean et moderne. Avec ça, elle soigne absolument tous les types de maladies, parce que, comme elle dit, “ le corps retrouve la mémoire perdue de ce qui lui fait du bien”.

[i]N. C.[/i] : Est-ce que les Russes ont une théorie générale à proposer ?

[i]J.-P. L.[/i] : On en est encore loin. Certains parlent de signalétique cellulaire, de macromolécules servant d’émetteurs et/ou de capteurs. Mais il y a un fait très curieux : presque tous nos interlocuteurs, sans même que nous le leur demandions, nous ont parlé de l’eau. Oleg Bietski, à l’Institut de Radiotechnique, nous a montré fièrement un appareil tout nouveau, “AquaStim”, un dynamiseur d’eau par ondes millimétriques. Selon lui, l’eau traitée peut être bue pour renforcer l’immunité, et en application locale elle est cicatrisante. Yossif Blinkov a lui aussi inventé un dynamiseur d’eau, qui produit ce qu’il appelle de “l’eau vivante”. Mieux encore : Evgueni Fessenko, un savant de réputation mondiale, le directeur de l’institut de Pouschino, ne se contente pas d’envoyer des ondes millimétriques pour stimuler ou inhiber le passage des ions calciums ou l’activité des cellules immunitaires. Il affirme avoir démontré qu’on obtient des effets identiques en baignant les cellules avec une eau qui a été préalablement irradiée par ces mêmes ondes.

[i]L. L. [/i]: Peut-être aviez-vous déjà pensé, quand j’ai mentionné l’homéopathie électromagnétique, à Jacques Benveniste. Eh bien, sans toujours connaître son nom, les chercheurs russes nous ont répondu comme une évidence : “Mais bien sûr, tout est dans la mémoire de l’eau !”.

[i]J.-P. L.[/i] : Conclusion : pour aller plus loin dans la compréhension de ces effets il faudra investir massivement et étudier la structure moléculaire de l’eau, dont on ne sait presque rien. Autrement dit, il serait temps d’y mettre les moyens. Mais il faut surtout changer toute notre vision de la biologie !

La voix de la planète : la résonance de Schumann et ses rapports avec l’être humain

Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer la RS comme étant la "Voix .de la Planète", plutôt que comme le battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont étroitement imbriqués. Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales.

Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’ondes. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes q’ondes cérébrales. Comme ces dernières, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.

Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sidéral en un lieu est l’angle horaire du point vernal en ce lieu. Ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure locale ni le temps solaire vrai]. Il y implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. L’avancée de ses recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio-contrôle, dans l’homéostasie et dans les interactions mentales à distance. Pitkanen suggère que, d’une certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés - dont les noeuds, les liens et les torsions sont entraînés par les forces géomagnétiques - comme générateurs de changements dans la polarité magnétique.

"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de l’entraînement des .neurones dans le cerveau. Ceux-ci sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu’en état de méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta parcourent le cerveau entier, il devient possible que l’être humain et la planète entrent en résonance.

C’est un transfert d’énergie et d’information qui est "incrusté’" dans un champ mais qui n’est pas le champ. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme] semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes alpha.

De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.

Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat. D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane, dont de nombreux pratiquants s’inclinent et se balancent de façon rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés.

Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un niveau plus profond et à créer des "expériences" accompagnant un endoctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités charismatiques ou "mana".

Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté. N’importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.

Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le corps commence à bouger et les mains à trembler et, lorsqu’il n’y a pas de contrainte ou d’inhibition, le corps entier entre dans un mouvement de résonance qui est le reflet de l’intention de guérison. Par exemple, dans les danses de guérison des Bushmen du Kalahari, des chamans investis de l’énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se mettent à trembler. Lorsqu’ils empoignent une autre personne et l’enlacent, l’autre commence aussi à trembler et peut à son tour en enlacer une autre. L’une après l’autre, toutes commencent à vibrer avec cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise), avant que cela n’atteigne notre culture ou d’autres cultures contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s’exprime par des pratiques plus subtiles, telle que "l’entraînement thérapeutique" (le rapport d’empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).

N’importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence d’énergie de guérison et il n’existe pas de méthode unique idéale. C’est une capacité très naturelle que nos corps sont capables d’activer pour vibrer à l’unisson avec la pulsation de vie. L’objectif de ce mouvement est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste. On peut à cela donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns aux autres et à la Nature, manifestant l’axiome métaphysique : "Ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l’objet ne font qu’un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont effectivement unies. C.M.Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un phénomène dont l’expérience est familière mais mal comprise qu’il nomme "Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant]. Beaucoup de gens observent ce "son" généré à l’intérieur, particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d’insecte. Anderson ne l’attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à l’état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au rythme normal alpha de 10Hz.

Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui pourraient provenir d’une perte d’accoutumance due à la déstabilisation de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage. Aussi, l’histoire des traumatismes et de l’abus de stupéfiants est fortement associée à l’asymétrie de la fonction hémisphérique. Les structures du lobe temporal, telles que l’hippocampe et l’amygdale cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais traitements et traumatismes de l’enfance.

Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de la période de rêve éveillé.

Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)

Ondes électromagnétiques et mutations génétiques.

Tiré de l'excellent site de Jean-Pierre Petit :
http://www.jp-petit.org anciennement http://www.jp-petit.com
(Extrait de la page http://www.jp-petit.com/dangers/Armes_bacterio/armes_bacterio.htm)

"Les phénomènes ondulatoires sont extrêmement intéressants dans l'optique d'un usage thérapeutique. En effet la combinaison de deux fréquences peut donner des résultats étonnants : une fréquence "porteuse" et une fréquence "de modulation".

Tous les "matériaux" sont plus ou moins transparents pour des fréquences données, y compris les tissus vivant. C'est valable pour les ultrasons comme pour les ondes électromagnétiques. Tous les tissus, tout ce habite un être vivant possède sa propre "bande passante". Entre une fréquence N1 et une fréquence N2 ces tissus n'absorbent aucune radiation. Par contre n'importe quel tissu, n'importe quelles cellule ou structure ou biomolécule possède une fréquence de résonance Nr pour laquelle l'absorption est maximale. Tout le monde connaît le phénomène de résonance. Lorsqu'on attaque un matériau en tombant pile sur cette valeur l'énergie se trouve amplifiée, accumulée. C'est comme ça qu'une troupe marchant au pas sur un pont suspendu peut provoquer la rupture de celui-ci. C'était le fondement de la biotechnologie Ummite. Les coques des virus avaient une fréquence de résonance qu'ils connaissaient avec précision. En envoyant vers des sujets injectés des pinceaux d'ultrasons modulés selon cette fréquence de résonance ils pouvaient opérer à distance ces destructions spécifiques des virus mortels ayant contaminé les habitants de la localité espagnole d'Albacete (voir "l'affaire de la main coupée").

Aujourd'hui n'importe quel laboratoire de biologie pourrait se livrer à ce type de recherche, par exemple sur des végétaux. infectés. Mais, dans le monde de la recherche et de la médecine "les ondes" gardent un certain relent de charlatanisme. Il était donc difficile de sensibiliser de tels milieux à ce genre d'approche. Un Suédois, ainsi que me l'avait montré Spitalier en me confiant une brochure avait bien essayé d'attaquer les cellules tumorales à l'aide d'une simple source HF. L'idée était très rustique. Les cellules cancéreuses sont plus vascularisées que les autres. Plus riches en eau elles sont a priori plus sensibles aux ondes électromagnétiques. L'idée du Suédois avait été de placer des sujets porteurs de nombreuses métastases dans ce qui n'était rien d'autre que de grands fours à micro-ondes. On pouvait ainsi monter leur température jusqu'à plus de quarante, quarante et un et, si mes souvenirs sont exacts, localement, quarante-deux degrés. Les cellules cancéreuses, plus sensibles à ce chauffage, mourraient les premières. Des essais furent faits sur des sujets déjà condamnés par la médecine. On obtint, sinon des rémissions, du moins des destructions spectaculaires de certaines métastases. Mais le recours systématique à une telle technique restait extrêmement dangereux, la frontière entre la guérison et la cuisson restant étroite.

A travers Spitalier, il y a vingt ans, j'avais donc proposé à des cancérologues, extrêmement méfiants et réticents, de tenter des expériences d'actions de micro-ondes (HF) pulsées en très basse fréquence. On savait déjà à l'époque (même Science et Vie en avait parlé ! ) que l'ADN était extrêmement sensible à ce genre d'effecteur. En effet quand les gens se mirent à étudier l'action des micro-ondes sur le vivant de champs électromagnétiques on s'attendit à ce que les tissus les plus riches en eau s'avèrent être les plus réceptifs. En effet la molécule d'eau, du fait de sa dissymétrie, de sa polarisation intrinsèque qui fait d'elle un minuscule dipôle est censée réagir à un champ électrique alternatif qui tend alors à la faire tourner, en lui transmettant ainsi de l'énergie. Encore aujourd'hui on utilise cette technique dite "du radar" pour chauffer des articulations à l'intérieur en transmettant cette énergie électromagnétique aux fluides contenus dans leurs capsules articulaires. Les tissus riches en eau possèdent eux aussi leur bande passante et leur fréquence de résonance. Ils deviennent "transparents", ou presque, lorsque la fréquence de l'onde devient assez élevée. Par contre si on traite cette fréquence comme celle d'une "porteuse" et qu'on module en basse fréquence on obtient des résultats aussi surprenants qu'inattendus. Des molécules ultra-longues, comme l'ADN se comportent alors comme des antennes, s'avérant sensibles aux très basses fréquences de modulation. On découvrit ainsi que l'ADN sollicité par de la HF en quelques gigahertz (fréquence de la porteuse), modulés en ..quelques hertz (fréquence de modulation de celle-ci) pouvait s'avérer 400 fois plus absorbante que l'eau elle-même. Il devenait possible de solliciter de manière ultra-sélective ces longues molécules en basse énergie, sans créer au sein des tissus le moindre échauffement, la moindre lésion secondaire par effet thermique. Avec Spitalier nous avions pensé à l'ADN des cellules cancéreuses en imaginant que l'on puisse détruire ces molécules à l'intérieur même des êtres vivants. A l'époque l'épidémie du Sida démarrait déjà. Dans ce cas précis la technique pouvait s'avérer très féconde, puisque le virus, à l'abri dans les lymphocytes T4, était a priori protégé d'attaques biochimiques. Il me semblait qu'on aurait pu déceler un "point de fragilité" dans l'ARN du Sida et l'attaquer grâce à une porteuse qui aurait sans encombre traversé les cytoplasmes des T4.

J'en profite au passage pour expliquer au lecteur comment les T4 éliminent les cellules indésirables dans le corps humain. Ces cellules sont équipées pour reconnaître un nombre extraordinaire de "signatures cellulaires". On pense que cette reconnaissance s'effectuerait au simple contact de sous-ensembles moléculaires. Si telle cellule est identifiée comme un indésirable alors le T4 se fixe à elle et la détruit. Comment ? Et c'est là que l'imagination du monde de la vie devient extraordinaire. On sait que les êtres vivants sont sensibles à d'incessantes mutations. De ce fait nous sommes moins sensibles aux antibiotiques que ne l'étaient nos parents. Si les T4 devaient procéder à l'élimination des cellules infectieuses par attaque biochimique la simple sélection naturelle donnerait naissance à de nouvelles souches devenues insensibles à ces poisons anti-cellules. Alors ces "lymphocytes-tueurs" utilisent un moyen.... mécanique. Des molécules de "perforine" sont utilisées. Celles-ci sont introduites à travers la membrane de la cellule et assemblées pour former une sorte de rivet. La cellule se vide alors par cet orifice (en fait ces orifices car, le microscope électronique le montrait déjà il y a plus de vingt ans, les T4 tuent ainsi les cellules à l'aide de plusieurs "coups de surin", absolument imparables).

Pour atteindre des virus retranchés à l'intérieur de lymphocytes on aurait pu alors soumettre les sujets à des ondes électromagnétiques en très basse énergie vis à vis desquelles l'ensemble de leur corps eût été "transparent". En modulant ces ondes selon une basse fréquence très précisément adaptée on aurait pu par exemple briser les ARN de ces rétro-virus du SIDA ou les invalider, les rendre incapables de se dupliquer.

On préféra la voie chimique, avec un certain succès il faut bien l'avouer, à la fois pour le Sida (tri-thérapie) et pour le cancer (chimiothérapie). En fait les deux approches auraient pu être menées de front sans problème, la voie "micro-ondes pulsées" n'étant a priori pas bien coûteuse. Mais il faut se souvenir que les laboratoires pharmaceutiques cherchent à soigner les gens, en en tirant des profits, non à les guérir. Des gens bien portant ne rapportent rien. De plus, en les rendant dépendants d'un médicament, couvert par des brevets, on peut s'emplir les poches. Si des affections pouvaient être traitées avec une simple machine, où irait-on? "

Pousse-t-on le cerveau à disjoncter ?

Chapitre 22 de l'ouvrage "Les anges ne jouent pas de cette Haarp".

Par Jeanne Manning, journaliste et Dr Nick Begich, homme politique de l’Alaska

Juin 2003, 400 pages

Edition:
Louise Courteau, éditrice inc.
481, Chemin du Lac St-Louis Est
St-Zénon, Québec, Canada
J0K 3N0

ISBN:2-89239-249-7

Les ondes cérébrales

Les nouvelles technologies offrent des possibilités incroyables pour améliorer l’apprentissage, la mémoire et modifier le comportement humain. Ces outils high-tech futuristes sont disponibles aujourd’hui et commencent à envahir le marché.

Michael Hutchison, un écrivain très en vue dans le domaine des recherches sur le cerveau, a permis aux profanes de se familiariser avec ce sujet.

Selon Hutchison, le cerveau fonctionne dans une bande de fréquences dominantes relativement étroite. Les fréquences dominantes des ondes cérébrales indiquent le type d’activité dans le cerveau. Il y a quatre groupes principaux de fréquences d’ondes cérébrales, qui sont associées à la plupart des activités mentales.

- Le premier groupe, les ondes bêta (de 13à 35 Hertz ou pulsations par seconde) est associé aux activités normales, c’est à dire aux activités familières, pendant lesquelles l’attention de la personne est tournée vers l’extérieur. Les valeurs supérieures de cette bande de fréquences sont associées au stress ou à des états d’agitation, qui peuvent altérer la pensée et affaiblir les capacités de raisonnement.

- Le deuxième groupe, les ondes alpha (de 8 à 12 Hertz) indiquent un état de relaxation. Les fréquences alpha permettent d’apprendre facilement et de bien se concentrer mentalement.

- Le troisième groupe, les ondes thêta (de 4 à 7 Hertz) se rapporte aux images mentales (imagination , rêve éveillé) , à l’accès à la mémoire et à la concentration mentale interne. Cet état se retrouve souvent chez les jeunes enfants, lors de modifications artificielles du comportement et dans les états de sommeil et de rêve.

- Le dernier groupe, les ondes delta, ultra lentes (de 0,5 à 3 Hertz) se retrouvent chez une personne profondément endormie. En règle générale, la fréquence dominante des ondes cérébrales sera au plus bas (en terme de pulsations par seconde) dans un état de relaxation et au plus haut lorsque la personne est très active ou agitée.223

Stimulation extérieure électromagnétique

Une stimulation extérieure au cerveau, avec des signaux électromagnétiques, peut entraîner le cerveau ou le bloquer en phase avec un générateur de signaux externes. Une stimulation extérieure peut conduire ou pousser des ondes cérébrales dominantes dans de nouvelles bandes de fréquences. En d’autres termes, le programmateur de signaux externes ou générateur d’impulsions peut imposer son propre rythme au cerveau d’une personne : les fréquences normales sont alors altérées artificiellement et les ondes cérébrales s’adaptent à la nouvelle bande de fréquences.

La chimie cérébrale subit à son tour des changements, ce qui modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la condition physique en sont altérées. Le comportement humain est fonction de sa programmation. La manipulation mentale peut-être soit bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet.

Les différentes fréquences, en combinaison avec des formes d’ondes spécifiques, déclenchent des réactions chimiques très particulières dans le cerveau. La libération de ces neurochimiques entraîne des réactions spécifiques dans le cerveau, qui se traduisent par des sentiments de peur, de désirs, de dépression, d’amour, etc. L’éventail complet des réactions émotionnelles et intellectuelles est le résultat de combinaisons neurochimiques très spécifiques des neurotransmetteurs, qui sont sécrétés lors d’impulsions électriques de fréquences spécifiques. Des mélanges précis de ces sécrétions cérébrales peuvent induire des états mentaux très particuliers, comme la peur du noir, ou une concentration intense [224]. Les travaux dans ce domaine avancent à une vitesse fulgurante et on découvre régulièrement de nouvelles choses. Plus nous en saurons sur ces fréquences cérébrales spécifiques, plus nous avancerons dans notre compréhension de l’organisme humain et de son bon fonctionnement. Des radiations de fréquences hertziennes, qui se comportent comme un conducteur sans fil de fréquences extrêmement basses (ELF), peuvent être utilisées pour télécommander les ondes cérébrales. C’est ce que le HAARP pourrait faire dans certaines de ses applications. Toutefois, on ne parle pas des effets secondaires de ce procédé sur l’homme dans les documents de HAARP, mais ils sont mentionnés dans ceux du gouvernement, que nous avons épluchés avant d’écrire ce livre.

M. Light, un chercheur et directeur de Biomedical Instruments, Inc. , un organisme qui commercialise des appareils électro-médicaux utilisés pour le contrôle ou la manipulation de l’activité cérébrale, est souvent cité dans le dernier livre de Hutchison [225]. Le niveau de puissance électrique nécessaire pour effectuer une mesure de contrôle de l’activité cérébrale est très faible (de l’ordre de 5 à 200 microampères) ce qui est des milliers de fois plus faible que la puissance nécessaire pour allumer une ampoule de 60 watts. Il s’agit ici de besoins en énergie très très faibles. L’astuce pour influencer l’activité cérébrale se trouve dans la juste combinaison de la fréquence, du degré de puissance et de la forme d’onde. Ce qui a été réalisé dans ce domaine, au cours des vingt dernières années et, plus particulièrement au cours de ces toutes dernières années, représente un énorme pas en avant.

Les recherches, menées sur le plan international, ont montré que le cerveau peut facilement être excité ou amené à changer d’état de conscience, sous l’influence de champs électromagnétiques externes. Ces nouveaux outils ont fourni de nouveaux moyens aux scientifiques comme aux profanes. Ces moyens sont des appareils électriques de stimulation crânienne, des systèmes sonores, des systèmes à impulsion lumineuse et tout un ensemble varié d’appareils pour l’entraînement du cerveau et le feedback. Les avancées technologiques ont été intégrées dans des systèmes spéciaux de contrôle et de commande, qui permettent aux gens d’apprendre à contrôler et à modifier leur propre activité cérébrale et à obtenir des résultats bénéfiques. Dans les documents, on parle, entre autres, de relaxation, de la maîtrise de la douleur, d’apprentissage accéléré et d’amélioration de la mémoire [226], [227], [228].

Les travaux les plus récents de Hutchison donnent les meilleures descriptions que l’on puisse trouver sur ces techniques destinées à influencer le cerveau. Son dernier livre Mega Brain Power (« Megabrain ») propose au lecteur une mise à jour sur les évolutions dans ce domaine; les développements vont tellement vite, que les applications de cette science galopante n’arrivent plus à suivre. Partant de là, il publie, depuis quelques années, une Newsletter, un bulletin d’informations sur les découvertes les plus récentes. Des publications récentes 229 parlent de technologies capables, entre autres, de guérir des dysfonctionnements du système nerveux, de corriger un déficit de la concentration et les dysfonctionnements dus à l’hyperactivité chez les enfants, de résoudre des problèmes de dépendances aux drogues et à l’alcool. Ce type d’électro-médecine devient un des domaines de recherche médicale les plus passionnants.

Ces dernières années, les scientifiques ont développé des applications médicales et psychologiques et ils ont obtenus des résultats très encourageants. Certains de ces résultats ont éveillé l’intérêt de l’armée de l’air, ainsi que vous le verrez au chapitre suivant. Malheureusement, la recherche militaire continue de considérer ces technologies comme des systèmes d’armement, au lieu d’outils pouvant servir à l’évolution de l’homme.

Un des inventeurs les plus doués d’Amérique, le Dr Patrick Flanagan, prédisait déjà en 1962 une évolution dans la médecine : Je crois qu’un jour l’ensemble des pratiques médicales sera transformé par l’électronique. Les gens auront des traitements électroniques et non plus médicamenteux [230].

Remarque personnelle : ceci n'est pas sans évoquer " La machine de Prioré "

A l’époque, le Dr Flanagan venait d’être reconnu comme l’inventeur de ce qui est toujours l’outil le plus pointu au monde pour influer sur l’activité cérébrale par stimulation électromagnétique et pouvant aussi fonctionner comme interface entre l’homme et l’ordinateur, le Neurophone.

Flanagan a dit, lors d’une récente interview, que HAARP pouvait être non seulement le « réchauffeur ionosphérique » le plus puissant au monde, mais aussi l’appareil le plus puissant jamais conçu pour la manipulation du cerveau. Selon les documents, lorsque HAARP sera pleinement opérationnel, il sera en mesure d’envoyer des ondes ELF et VLF utilisant de nombreuses formes d’ondes à des niveaux d’énergie suffisants pour influer sur le fonctionnement cérébral de l’ensemble de la population d’une région.

Les planificateurs de HAARP n’ont jamais mentionné les recherches de Flanagan, bien que l’Armée de l’air et la Marine aient travaillé dans ce domaine depuis le début des années 60 . Mais comme ils appliquent le cloisonnement et le principe du strict minimum, dont nous avons déjà parlé dans ce livre, il est fort probable que la plupart, sinon tous ceux qui sont impliqués dans la construction et la programmation du projet HAARP dans cette première phase, ne savent rien des possibilités d’utilisation dans le domaine neuroélectrique.

Le Dr Robert O. Becker fit une expérience au début des années 60 avec les ELF (fréquences extrêmement basses) en utilisant un courant continu (CC) pour transporter le signal ELF. En d’autres termes, le signal ELF circulait comme un passager dans un bus : il conservait ses propres caractéristiques, tout en étant porté vers sa destination spécifique. Le Dr Becker a testé ce concept sur des hommes, en utilisant un signal ELF de 1-10Hertz (cycles ou impulsions par seconde). Il en résulta que certaines de ces personnes-cobayes accusèrent une perte de capacité de leur conscience. Les faibles ondes ELF seules ne montraient aucun effet et le CC seul avait un effet très faible. Au dessus de 10Hertz et en association avec le CC, les effets retombaient progressivement jusqu’à atteindre le niveau atteint par le CC seul 231 . Ceci prouve qu’avec des ondes ELF (ces fréquences ont de grandes affinités avec les ondes cérébrales humaines) on peut faire des manipulations externes des processus cérébraux et obtenir de très bons résultats.

Le neurophone de Flanagan

En 1958, le Dr Patrick Flanagan, alors âgé de 14 ans, inventa le Neurophone, qui lui valu d’être reconnu comme un des plus brillants inventeurs de notre temps. Le Neurophone peut convertir les sons (comme la parole et la musique) en impulsions électriques, qui peuvent être transférées directement dans le cerveau, en passant par n’importe quel point sur le corps, mais sans passer par les oreilles et les autres mécanismes liés à l’ouïe. L’Office des brevets a refusé de délivrer un brevet pour cet appareil pendant plus de six ans, le temps de discuter en détail de cette technologie pointue. Finalement, les fonctionnaires déclarèrent que le Neurophone ne marcherait jamais et refusèrent le brevet. Patrick et son avocat se rendirent à Washington D.C. avec un appareil, afin de le montrer à l’examinateur de l’Office des brevets. L’examinateur a déclaré que si cet appareil pouvait rendre l’ouïe à un employé qui souffrait de surdité nerveuse, il rouvrirait les dossiers et accorderait le brevet. L’appareil fonctionna, l’employé entendit et … chose promise, chose due, le brevet fut accordé.

Plus tard, le Dr Flanagan travailla à l’université Tufts, ou il entreprit d’autres travaux de recherche et de développement avec son Neurophone. En tant que scientifique chercheur pour Tufts, il travailla à un système de communication entre l’homme et le dauphin, pour la Marine. Ces travaux aboutirent au développement d’un système sonore holographique en 3D, qui permettait de diriger le son dans n’importe quelle direction d’une pièce mais l’auditeur aura toujours l’impression que le son lui est destiné.

Des recherches complémentaires, permirent la mise au point d’un Neurophone numérique très perfectionné, pour lequel il demanda un brevet. L’Agence américaine pour la sécurité de la Défense (Defense Intelligence Agency) le plaça immédiatement sous le sceau du secret, au nom de la sécurité nationale et il fut interdit au Dr Flanagan de mener d’autres recherches et même de parler de cette technologie, pendant 4 ans.

Lorsque l’injonction de garder le secret fut enfin levée, vingt ans après que le premier Neurophone eut été inventé, le Dr Flanagan fut en mesure de faire construire le Mark XI et le Thinkman Model 50, en nombre limité. Ils furent utilisés comme outils pour l’apprentissage, car ils pouvaient « télécharger » des informations enregistrées dans la mémoire à long terme.

A partir de là, le Dr Flanagan continua d’expérimenter de nouveaux concepts et des schémas avancés, en vue d’améliorer encore la technologie du neurophone. Cet appareil serait l’interface absolue entre le cerveau et l’ordinateur et il est question de le remettre en vente. L’idée de pouvoir transférer, dans la mémoire à long terme, une profusion d’informations correctement formatées, entraînerait une révolution dans le monde de l’éducation ( ! ... ) . Les modèles éducatifs existants deviendraient, de ce fait, obsolètes. L’éducation ne concernerait plus l’accumulation de données, mais mettrait l’accent sur l’apprentissage des stratégies et l’exploitation des ressources mentales. Cette transformation offrirait de grandes possibilités de créativité et de développement personnel, grâce à la maîtrise des potentiels intellectuels.

Le Neurophone est l’un des appareils pouvant influer sur le cerveau par stimulation électromagnétique, les plus puissants qui aient jamais été développés. En inventant le Neurophone, le Dr Flanagan avait des dizaines d’années d’avance sur son temps. Ces dernières années, il a continué à perfectionner le Neurophone, en testant de nouveaux modes de transmission. Et, considérant l’intérêt qu’avait montré l’Agence de la Sécurité de la Défense pour le premier Neurophone numérique, il est fort probable qu’eux aussi aient cherché à l’améliorer. Lors de nos entretiens sur le projet HAARP avec les Dr Patrick et Gael Crystal Flanagan en 1994, il s’est avéré que ce transmetteur radio et réchauffeur ionosphérique pouvait être utilisé comme un Neurophone sans fil. Cette utilisation offre d’énormes possibilités d’utilisations offensives [232].

Biofeedback cérébral

[NdR] : En fait, ces modifications de l'EEG ne sont pas spécifiques à la méditation, et ne peuvent pas être utilisées dans le but de certifier l'existence de quelques états mentaux particuliers qui soient. Les changements d'EEG, rapportés par les premiers chercheurs, indiquent généralement une moindre excitation corticale. Physiologiquement, ils ne sont pas spécifiques à la méditation et, en fait, sont justes logiques avec l'assoupissement qui accompagne le sommeil, tout comme ils le sont avec tout état de conscience spirituellement "élevé". De la même manière, pas plus que l'EEG pendant la méditation n'est distinguable de l'état "groggy" dans lequel on se trouve en s'endormant, cela ne nous oblige à conclure que l'expérience mentale à laquelle les méditants aspirent ne peut être discernable, agréable, ou même bénéfique de quelque façon qui soit (Neher 1990). Tout au plus, les adeptes de la méditation entraînés peuvent-ils se sentir différents pendant leur méditation, contrairement à l'endormissement.
extrait de http://charlatans.free.fr/synchroniseur-energiseur-cerebraux.shtml

Le biofeedback cérébral en temps réel est un autre domaine de la recherche sur le cerveau, qui commence à offrir de belles opportunités à beaucoup de gens. Ce domaine concerne les nouvelles techniques de prise de contrôle sur le cerveau. Ce sont des technologies électroniques interactives, qui permettent aujourd’hui d’observer les ondes cérébrales en temps réel. La personne qui utilise ces outils, peut voir les tracés de ses propres ondes cérébrales sur l’écran d’un ordinateur pendant qu’elle pense ou agit.

Aujourd’hui, il existe plusieurs systèmes sur le marché, mais un des plus pointus est construit aux Etats-Unis par l’American Biotech Corporation. Avec ces systèmes, une personne peut apprendre à manipuler son cerveau de manière très perfectionnée. Il a été possible, entre autres, d’atteindre des états de méditation très profonde (des états de conscience habituellement atteints après des années d’entraînement), une augmentation du taux de récupération des dysfonctionnements cérébraux, causés par une attaque d’apoplexie ou un accident et des améliorations chez les enfants souffrant de troubles de l’attention et d’autres dysfonctionnements.

Ces nouvelles technologies de feedback (rétroaction) servent à aider les gens dans de multiples situations. Plusieurs chercheurs ont prouvé l’efficacité du biofeedback cérébral, en réussissant à mettre fin à des états de dépendances aux drogues et à l’alcool. Ces outils et ces technologies ont été utilisées dans le but de guérir un bon nombre de désordres mentaux, en apprenant à la personne comment créer, à volonté, de nouvelles structures cérébrales à l’intérieur d’elles même, pour modifier son niveau de conscience. Les scientifiques se sont aperçus que les gens étaient capables d’apprendre à reproduire, à volonté, un certain nombre d’états mentaux spécifiques, en l’espace de 30 à 60 jours et sans se servir continuellement de ces machines. La machine ne sert que de lien entre deux niveaux d’autocontrôle mental. Les techniques, qui utilisent les modems informatiques, peuvent s’expliquer ainsi : il s’agit d’un système d’apprentissage pour contrôler sa pensée à son propre rythme, pour arriver à des résultats bien spécifiques. Un petit enfant qui apprend à maîtriser ses jambes pour ramper, puis pour marcher, puis pour courir, est un exemple parfait. Nous, les adultes, en sommes toujours au stade de l’enfant qui rampe, dans notre contrôle mental. Ces technologies nous offrent l’opportunité d’un meilleur contrôle de soi, grâce à un meilleur contrôle de notre cerveau. Il ne faudrait pas sous-estimer la valeur de cette technologie.

Changer sa manière de penser, en décidant personnellement des changements, n’est pas malsain. Mais il est fâcheux de constater que les gouvernements s’intéressent à ces technologies, non pour des utilisations individuelles bénéfiques, mais afin d’améliorer leur contrôle sur des populations qu’ils estiment dangereuses. Ces technologies promettent beaucoup, mais le potentiel qu’on en abuse est bien là et il est très important. Comme ces technologies existent actuellement, tous les travaux dans ce domaine devraient être publiés. Ceci garantirait la préservation d’un droit fondamental de l’homme, à savoir le droit de penser librement.

Les travaux réalisés dans ce domaine auront des répercussions profondes sur chacun d’entre nous. La publication des informations, jalousement gardées par les agences gouvernementales au nom de la sécurité nationale, permettrait d’accélérer la compréhension de ces technologies et leur portée. Si les instances de l’état publiaient les résultats de leurs recherches, nous pourrions avancer à pas de géant dans l’un des domaines les plus importants du développement humain. Si le cerveau humain pouvait être utilisé de manière plus performante, il est probable que nous pourrions résoudre des problèmes complexes dans le monde et ainsi améliorer la qualité de vie de beaucoup de gens.

Ce chapitre sert d’introduction à certains concepts que nous avons étudiés. Quand à nos lecteurs, ils sont invités à poursuivre leurs propres recherches et ainsi devenir de nouveaux compilateurs. Ce chapitre apporte de plus amples informations sur les fréquences et les formes d’ondes de l’énergie, susceptibles d’améliorer le potentiel humain au lieu de le détruire. L’utilisation et le développement de ce type de technologies ne devraient pas être imposés aux gens par l’Armée à travers ses manipulations de l’atmosphère ou par d’autres moyens externes. Les gens devraient pouvoir choisir personnellement ces innovations technologiques, s’ils le décident.

Notes et bibliographie

Notes de bas de page

[223] Michael Hutchison : Mega Brain, New Tools and techniques for Brain Growth and Mind expansion » ,1986
[224] Michael Hutchison : Mega Brain, New Tools and techniques for Brain Growth and Mind expansion » ,1986 p114
[225] Michael Hutchison : Mega Brain power 1994
[226] Sheila Ostrander & Lynn Schroeder : « Super Learning »
[227] Michael Hutchison : Mega Brain power 1994
[228] Michael Hutchison : Mega Brain , New Tools and techniques for Brain Growth and Mind expansion » ,1986
[229] « Megabrain Report » , The Journal of Optimal performance , Vol 2 n°4 , 1994
[230] « Whiz Kid , Hands Down », Life Magazine , 14 septembre 1962
[231] Robert O.Becker , MD : Cross Currents : The Perils of Electropollution.THe Promise of Electromedecine » Jeremy Tarcher , Los Angeles , 1990 , page 227
[232] Entretiens entre les Drs patrick &Gael Crystal Flanagan et le Dr Nick Begich en 1994 et 95

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http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/09/12/22012557.html

Notre corps dispose de trou noir :une machine d'auto-guérison quantique

"Nous faisons tous partie d'un grand hologramme nommé Création, qui est le soi de tout le monde… C'est un jeu cosmique où il n'y a rien d'autre que vous !!" de Itzhak Bentov, scientifique, auteur et mystique.

"Voici le monde dans un grain de sable Et le Ciel dans une fleur sauvage, Tenir l'infini dans la paume de ta main Et l'éternité dans une heure" de William Blake, poète et visionnaire mystique.

"Toute matière provient d'une force et n'existe que par celle-ci… Nous devons présumer l'existence, sous cette force, d'un Esprit conscient et intelligent. Cet Esprit est La Matrice de toute la matière…" Max Planck, père de la théorie quantique.

Citations du livre de Gregg Baden "la Divine Matrice"… et encore ceci :

"Ainsi nous découvrons et commençons à peine à comprendre que nous sommes connectés non seulement à tout ce que nous voyons aujourd'hui dans notre vie, mais aussi à tout ce qui a jamais existé, de même qu'à des choses qui n'existent pas encore. En outre, ce dont nous faisons l'expérience maintenant est le résultat d'évènements qui se sont produits (au moins en partie) dans une sphère de l'univers qui nous est invisible."

Les implications de cette relation sont énormes. Dans un monde où un champ énergétique intelligent relie toutes choses, de la paix globale à la guérison personnelle, ce qui autrefois passait pour miraculeux ou fantastique devient soudain possible dans notre vie" Gregg Baden.

Dans sa phase quantique, il est bon de noter que votre corps physique va disposer d’une excellente fluidité permettant l’harmonisation du corps et de l’esprit. Votre pensée intuitive induite par la Synergie est amenée à maturité et à son point d’évolution par le neuropeptide qui accompli le rôle de transformateur, à cette enseigne le quantum agit de la même manière au cœur de l’Univers. Votre pensée intuitive va fait naître le neuropeptide à son contact par un agent neurochimique. C’est une transformation qui aura lieu au cœur de la matière et de l’antimatière en vous. A l’image de l’espace intergalactique, votre corps physique va disposer, toute proportion gardée, du même espace vide. Il est bon de vous rappeler que les particules subatomiques sont séparées par le vide et l’atome dispose d’un espace vide à 99.99%.

Par la Synergie, vous véhiculerez le quantum au travers des hyperespaces multidimensionnels dont vous disposez, par la synchronisation de vos cellules cérébrales, vous vous offrirez un million de cellules et de neurotransmetteurs pour vous permettre d’agir au sein de la salle de contrôle qui coordonne mon système neurophysique au cœur de votre cerveau. Alors apparaîtront les photons (quantum de lumière) qui ne pourront être divisés en de plus infimes particules, qui vont vous permettre d’agir au cœur de la structure inter dimensionnelle de votre Être. Dans l’hologramme de votre être apparaîtront trois ADN : votre ADN humain, l’ADN terrestre (Agartha) et l’ADN cosmique qui se coordonnera au point de transformation en associant les différents messages provenant du monde quantique et destiné à agir au cœur de chaque cellule en se projetant sous forme de neuropeptides , d’hormones et d’enzymes.

Tous les évènements quantiques de votre vie surviennent de l’intérieur et de l’extérieur de l’espace multidimensionnel. Vous disposerez de trous noirs dans lesquels la matière et l’énergie disparaissent, vous pouvez les appeler les portes de l’oubli. Dans la mécanique quantique de votre organisme humain, vous arrivez dans la zone où le corps tout entier est organisé et coordonné pour pouvoir profiter des molécules intelligentes non inertes, ce qui va offrir la possibilité aux milliards de bits d’ADN de votre organisme de fusionner dans une seule et grande molécule d’ADN. Il est alors possible que les ondes VLF qui vibrent sur la fréquence de l'ADN le font pour l'empecher de créer un trou noir pour absorber les maladie et les gènes parasites ,et en s'accumulant les maladies diverses se déclenchent Notre corps est une machine d'autoguérison spirituelle preuve de l'existence d'un grand esprit concepteur d'une telle merveille . ou lorsque nous pensons nous créons un vortex et ce vortex a le pouvoir de guérir ou de rendre malade l'ame et le corps c'est ainsi que fonctionne l'ame agie

 RJames

 

 

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A regarder :

http://www.conspirovniscience.com/ondesscalaires.php

 

http://interobjectif.net/le-langage-de-la-divine-matrice-par-gregg-braden/

 

http://www.connaissancessansfrontieres.net/DeepakChopra/ChopraVideoPage1Bis.html