Les articles sur l'électrogmatisme utilisé en tant que medecine.
La médecine du 21ème siècle sera
électromagnétique
Entretien extrait de
http://www.nouvellescles.com/
Règne de la fée Electricité et Age de la communication obligent :
d’innombrables ondes et champs électromagnétiques d’origine artificielle
surchargent aujourd’hui notre environnement. Mais que savons-nous de
leur influence sur les êtres vivants ? Dans un reportage fascinant
diffusé en 2002 sur Arte, puis publié sous la forme de livre qui vient
de sortir en poche - Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent, coll.
Espaces Libres, Albin Michel) -, Jean-Pierre et Laurence Lentin dressent
le bilan des connaissances actuelles.
[i]Nouvelles Clés[/i] : Votre enquête concerne évidemment, en premier
lieu, les dangers de l’électromagnétisme artificiel pour la santé. Et
certes, en se promenant sous une ligne à haute tension par temps de
pluie ou, pire encore, de neige, il est facile d’attribuer à tous ces
grésillements un vilain air de menace. “Frayeurs obscurantistes”, semble
répondre le discours scientifique officiel français. Et c’est la même
fin de non recevoir pour les effets du téléphone portable. Bref, sauf en
cas de contact direct avec un circuit ou d’échauffement des tissus, la
plupart de l’électromagnétisme artificiel présent dans notre
environnement serait sans aucune action sur le vivant. Pourtant
l’Assemblée Nationale a adopté en juin 2000 une loi interdisant la
construction d’habitations et d’établissements publics sous les lignes à
haute tension. Toute cette ambiguïté se retrouve d’ailleurs dans
l’attitude face aux thérapies électromagnétiques. Alors, pourquoi en
sait-on si peu ?
[i]Jean-Pierre Lentin[/i] : Dès la découverte de l’électromagnétisme,
certains pensent à ses effets sur le vivant, positifs ou négatifs. Des
appareils de thérapie électromagnétique apparaissent vers 1880, et des
recherches un peu plus sérieuses commencent quelques décennies plus
tard. Et là, première surprise et premier élément de réponse : c’est
essentiellement la science soviétique qui s’intéresse à ce domaine,
donnant aujourd’hui à la Russie une avance certaine. Pour expliquer le
retard pris par l’Occident, il faut en effet tenir compte de l’énorme
pression exercée en faveur de la chimie pharmaceutique, dont les
premiers succès datent de la même époque. Citons le cas emblématique de
John D. Rockfeller qui, après avoir fait fortune dans l’industrie
minière et pétrolière, s’est reconverti dans l’industrie chimique.
Voyant l’énorme potentialité de l’industrie pharmaceutique à base de
chimie, il a investi massivement dans la recherche médicale. Il a inondé
les universités de crédits, de bourses, de subventions, alors que jusque
là les industriels le faisaient peu. De fait, le système de financement
privé de la science aux Etats-Unis a incité les chercheurs à se
consacrer à la recherche chimique. On compte ainsi plusieurs cas connus
de répression ou de suppression active des recherches dans les domaines
qui concurrençaient le modèle chimique. De leur côté, les compagnies
industrielles basées sur l’électricité (ou les armées, avec les radars)
n’avaient pas intérêt à conduire ou à financer des études risquant de
prouver que les champs magnétiques et électriques ont un effet sur la
santé. Cela faisait beaucoup pour une discipline à peine naissante !
L’étude du bio-électromagnétisme s’est donc très peu développée en
Occident, et toujours grâce à des chercheurs marginaux ou à des
scientifiques qui, bien que plus conventionnels, étaient isolés dans
leur université et considérés comme des gens un peu bizarres.
[i]N. C.[/i] : C’est donc de Russie, ou plutôt d’Union Soviétique,
que sont venues les découvertes ?
[i]J.-P. L.[/i] : La réputation de la science soviétique n’est plus à
faire, malgré la bureaucratie ou les lubies de dirigeants qui, parfois,
faisaient se fourvoyer tout un secteur, comme Lyssenko avec la
génétique. Un chercheur qui ne se heurtait pas de front à ces interdits
disposait d’une certaine liberté. Quand il s’est agi de mesurer les
effets de l’électromagnétisme sur la santé, par exemple, l’intérêt
scientifique a rencontré l’idéologie prônant la protection du
travailleur, et les résultats ne se sont pas fait attendre : les normes
de sécurité sont aujourd’hui encore en Russie beaucoup plus draconiennes
que chez nous. L’armée, quant à elle, ne s’en est pas souciée,
puisqu’elle avait de toute façon tous les droits. (On sait qu’aux
Etats-Unis l’armée a d’abord financé puis étouffé les études sur les
effets des émissions radar de forte puissance en zone habitée.) D’autre
part, la recherche d’utilisations thérapeutiques était favorisée par la
pénurie chronique de médicaments.
[i]Laurence Lentin[/i] : Nous savions donc que la recherche russe
était en avance. La deuxième surprise, et le deuxième sujet de notre
reportage, c’est que nous ignorions à quel point : à Moscou, à
Saint-Petersbourg, à Kiev en Ukraine (les trois écoles les plus
réputées) comme dans toute l’ex-Union Soviétique, la thérapie
électromagnétique est couramment employée pour de multiples
applications, dans les hôpitaux publics et dans des centres privés. Et,
au dire de tous les médecins, avec un grand succès.
[i]N. C.[/i] : Dans quels domaines ?
[i]J.-P. L. [/i]: C’est un vivier énorme. Pour notre enquête, nous
avons fait un tri en nous adressant aux personnalités russes les plus
reconnues, recroisant nos informations auprès d’autres experts mondiaux
de la discipline réunis lors du congrès international de
bio-électromagnétisme à Munich. Nous avons finalement retenu quatre
techniques principales. En premier lieu vient la thérapie par les ondes
millimétriques, des micro-ondes d’une fréquence encore plus rapide que
les micro-ondes classiques (au-delà de 5 gigaHertz, contre 2,5 gigaHertz
pour un four, de 0,9 à 1,8 gigaHertz pour le téléphone portable et 3 ou
4 gigaHertz pour le prochain système de téléphonie mobile UMTS). Les
Français ont été parmi les premiers à découvrir ces ondes, mais très
rapidement ce sont les Russes qui en sont devenus les spécialistes,
construisant des émetteurs reconnus comme les meilleurs du monde.
Particulièrement difficiles à créer, les ondes millimétriques ont servi
aux radars (plus une onde est rapide, plus elle est pénétrante), puis à
l’analyse des matériaux. Les Russes, avec leur culture en
bio-électromagnétisme, se sont demandés dès les années 60 quels effets
elles pouvaient avoir sur le vivant. Ils ont soumis à leur rayonnement
des levures, des algues, des cultures de cellules. Bingo ! Pour
certaines fréquences très précises, ils obtenaient des doublements, des
triplements, voire des décuplements de la croissance cellulaire. Leurs
premières utilisations médicales ont été conduites par l’institut de
cancérologie et on s’en sert largement aujourd’hui, non pour combattre
le cancer directement, mais pour aider l’organisme à résister aux
radiations et à la chimio. Les médecins ont aussi travaillé sur la
cicatrisation, la repousse des os, la réduction des oedèmes et des
inflammations, les maladies de peau et les affections qualifiées là-bas
de neurologiques et chez nous de rhumatismales : arthrose, tendinite,
mal au dos, etc.
[i]L. L.[/i] : Il faut voir, à Moscou, l’impressionnant Hôpital N°
15, qui ressemble à une immense barre HLM, où nous avons rencontré la
grande spécialiste des ondes millimétriques, Natalia Lebedeva, et sa
fille Anastassia qui dirige le service de cardiologie. C’est là qu’on
envoie les Moscovites victimes d’un infarctus, tous sont traités à
l’aide d’une petite machine à ondes millimétriques, dont on a constaté
qu’elles ralentissaient les battements cardiaques et aidaient le muscle
à récupérer. Elles stimulent la réparation des tissus, ont un effet
antioxydant, renforcent la capacité des cellules à résister à
l’infection et à l’inflammation.
[i]N. C.[/i] : Les Russes ont mené des études thérapeutiques
rigoureuses, ils ont des données précises ?
J.-P. L. : Hélas ! Ils n’ont pas souvent employé nos protocoles
draconiens, avec placebo et procédures en double aveugle, etc. Ils sont
aussi passés un peu trop vite, au goût nos savants, des expérimentations
animales aux applications humaines. Toutes les études cliniques seraient
donc à refaire pour obtenir des homologations dans les pays occidentaux,
un processus qui coûte très cher, ce qui nous ramène à l’ostracisme dont
souffre la biologie électromagnétique (ses moyens humains et financiers
sont environ mille fois inférieurs à ceux de la biologie moléculaire).
Certes, dans d’autres domaines que celui des ondes millimétriques, la
médecine occidentale s’est un peu ouverte aux techniques russes. Les
champs magnétiques pulsés, par exemple, sont homologués aux Etats-Unis
par la Food and Drug Administration depuis 1979 comme thérapie
permettant de soigner les fractures particulièrement récalcitrantes (les
non-union fractures). Mais il a fallu qu’un investisseur privé trouve
les moyens de financer cette recherche précise, pour cette application
précise.
Et en France les orthopédistes ne veulent toujours pas en entendre
parler !
[i]L. L.[/i] : A l’institut de biophysique cellulaire de Pouschino,
la grande cité scientifique à 100 km de Moscou, on a déjà dépassé tout
ça, même si les locaux tombent en ruine et que les laboratoires sont
dépeuplés - il faut dire que la recherche russe est aujourd’hui dans une
misère noire, un chercheur gagne à peine cent dollars par mois ! Et
pourtant, ils sont en train d’obtenir des résultats contre le cancer et
la maladie d’Alzheimer, avec des champs magnétiques pulsés de très
faible intensité.
[i]J.-P. L.[/i] : En Occident, il y une seule autre application pour
les champs magnétiques, cette fois très intenses : en neuropsychiatrie,
ils semblent avoir un effet sur les dépressions graves. Cette méthode
découverte par les Américains est depuis peu à l’essai à Paris (à la
Salpétrière), à Créteil et à Lyon.
[i]N. C. [/i]: Vous voyez bien que l’on s’y met, et personne ne se
plaindra d’un luxe de précautions ! N’y aurait-il pas des raisons plus
fondamentales, liées à cette discipline elle-même, pour expliquer les
réticences occidentales ?
J.-P. L. : Bien sûr, il y a de nombreux problèmes. D’abord, la
complexité des phénomènes en biologie cellulaire rend les expériences
extrêmement difficiles à reproduire d’un labo à l’autre. Une des
raisons, c’est que le champ magnétique terrestre entre en ligne de
compte, d’une manière qu’on ne sait absolument pas quantifier, et que ce
champ varie géographiquement, il est aussi modifié par les bâtiments,
donc il n’est jamais identique d’un endroit à l’autre. Certains
chercheurs estiment qu’ils faudrait faire les expériences à -600 mètres,
pour que le champ magnétique ne subisse aucune influence ! Mais le
problème est aussi médical : la médecine russe partage avec la médecine
chinoise une vision énergétique de l’être vivant. Les différentes
techniques électromagnétiques s’appliquent en des points précis, issus
de la “réflexothérapie”, nom que les Russes donnent à l’acupuncture.
Quand on sait que celle-ci tient encore du charlatanisme aux yeux de
notre médecine officielle, on comprend la difficulté !
La troisième technique importante employée en thérapie, après les
ondes millimétriques et les champs magnétiques pulsés, offre un
excellent exemple de l’incompréhension qui règne ici. Il s’agit des
courants électriques, que l’Occident connaît bien puisqu’ils servent
notamment aux kinésithérapeutes pour calmer la douleur (les stimulateurs
électriques nerveux transcutanés).
Ça chauffe un peu, le courant est assez fort, une utilisation
prolongée annule les effets à cause de l’accoutumance, et à la longue ça
peut être cancérigène. Mais ça rentre dans le modèle admis : effet =
échauffement. Les Russes, eux, utilisent des micro-courants électriques,
mille fois moins intenses, mais appliqués sur les “zones réflexes” et
les points d’acupuncture. Et ça donne des résultats spectaculaires,
notamment contre les toxicomanies. Nous avons visité un centre où on
soigne le tabagisme et l’alcoolisme, avec une espèce de couronne
électrique inventée dans les années 70 par un ingénieur du spatial,
Boris Bourenko, initialement pour soigner les cosmonautes victimes du
mal de l’espace. Les Russes s’inspirent aussi, parfois, de découvertes
occidentales en médecine alternative, mais ils les développent et elles
rejoignent vite la médecine officielle. Dès qu’il y a des résultats, ces
médecines sont homologuées par le Ministère de la Santé, même si leurs
principes restent assez mystérieux. C’est le cas, à Moscou, du centre
IMEDIS de Youri Gotovsky, à partir d’une technique créée dans les années
60 par un Allemand, Reinholdt Voll, qui consiste à mesurer la
résistivité des points d’acupuncture par rapport à une valeur normale,
puis à rétablir l’équilibre. L’électro-acupuncture et ses rejetons comme
les méthodes Mora, Vega ou Bicom, malgré leur succès en Allemagne et en
Autriche, sont toujours restées des thérapies alternatives en Occident.
Car là, on entre de plain pied dans le cœur du problème : on débouche
directement sur l’homéopathie !
[i]N. C. [/i]: Pourquoi est-ce le cœur du problème ?
[i]L. L. [/i]: Parce que ces thérapies reposent sur l’idée d’une
bio-résonance électromagnétique. C’est un apport d’information à
l’organisme, et non un processus mécanique comme en chimie
médicamenteuse. Les Russes, et aussi les Ukrainiens qui sont très en
pointe dans ce domaine, ont informatisé le diagnostic issu des points
d’acupuncture et de la détection des ondes émises naturellement par le
corps. Et ils vont encore plus loin, ils enregistrent sous forme
électromagnétique la “signature” des substances à prescrire, et à la fin
de la consultation le médecin branche une petite machine, y place des
granules neutres de saccharose et les irradie avec les fréquences de ces
substances, numérisées dans l’ordinateur. C’est de l’homéopathie
électromagnétique.
[i]N. C.[/i] : Et pour espérer comprendre un jour, il faut dépasser
notre vision chimique moléculaire du vivant, de l’homme, de la médecine,
et adopter une vision électromagnétique ?
[i]J.-P. L. [/i]: C’est à notre avis l’étape suivante. En termes de
communication, le modèle chimique de la clé et de la serrure est
insuffisant : il faut une molécule qui s’emboîte dans une autre molécule
pour déclencher un processus, cela devient vite un peu fou, car il y a
des milliards de molécules dans une cellule, et de nombreux phénomènes
restent inexplicables. A l’évidence, il existe d’autres méthodes de
communication plus performantes. La preuve, c’est que nous nous en
servons pour communiquer dans le monde entier avec nos portables, nos
radios, nos télés, etc. Pourquoi le vivant ne ferait-il pas pareil ?
Quoi de mieux, pour communiquer, que d’émettre une fréquence que seuls
les “bons” détecteurs cellulaires capteront, par résonance, déclenchant
une réaction ciblée ? Au congrès de Munich, le sujet de questionnement
principal était : “S’il n’y a pas d’échauffement, alors qu’est-ce que
c’est ?”. C’est de l’information, en fait, un signal reconnu par la
cellule. Et cette notion ne “passe” pas facilement ! A propos des ondes
millimétriques, les Russes avancent pourtant une hypothèse intéressante.
Souvenons-nous que les étoiles, pour nous principalement le soleil,
émettent sur toutes les longueurs d’onde, à toutes les fréquences. Or,
les ondes millimétriques sont pratiquement les seules à être entièrement
absorbées par l’eau dans la haute atmosphère. Sur Terre, elles sont
totalement absentes de l’environnement naturel. Du coup, celles émises
par la matière vivante rencontrent moins d’interférence, moins de
brouillage. Le vivant les aurait-il “choisies” précisément pour cette
raison, pour servir de véhicule à ses communications ? Autre piste
proposée depuis les années 60 par l’institut de biophysique de Pouschino
et portant sur l’activité cellulaire elle-même : on sait que l’un des
facteurs de régulation de cette activité est la quantité d’ions calcium
qui traversent la membrane cellulaire. Ces ions entrent et sortent selon
un rythme connu, cyclique. Il n’est pas difficile de supposer que ce
rythme puisse être affecté par d’autres phénomènes cycliques : il suffit
qu’une oscillation de même fréquence, ou multiple ou sous-multiple de
cette fréquence, entre en résonance ou en interférence, et inhibe ou
augmente le rythme naturel.
[i]L. L. [/i]: A l’Hôpital 23 de Moscou, une bâtisse lugubre et
complètement délabrée, le docteur Yossif Blinkov a appliqué ce
raisonnement aux organes eux-mêmes, suite d’ailleurs à des travaux de
médecins franàais totalement inconnus ici, Ferrer et Saulnier de
Marantes. Nos organes ne sont pas seulement soumis à des rythmes
circadiens, mais aussi à des rythmes internes, en Hertz (un Hertz, c’est
un cycle par seconde) ou en fractions de Hertz, parfaitement réguliers.
Blinkov a mis au point des appareils magnétiques pour restaurer le
rythme naturel de différents organes, et nous avons vu sa collaboratrice
Ludmilla Khazina les appliquer dans son centre de réflexothérapie - un
centre semi-privé, très différent des hôpitaux, très clean et moderne.
Avec ça, elle soigne absolument tous les types de maladies, parce que,
comme elle dit, “ le corps retrouve la mémoire perdue de ce qui lui fait
du bien”.
[i]N. C.[/i] : Est-ce que les Russes ont une théorie générale à
proposer ?
[i]J.-P. L.[/i] : On en est encore loin. Certains parlent de
signalétique cellulaire, de macromolécules servant d’émetteurs et/ou de
capteurs. Mais il y a un fait très curieux : presque tous nos
interlocuteurs, sans même que nous le leur demandions, nous ont parlé de
l’eau. Oleg Bietski, à l’Institut de Radiotechnique, nous a montré
fièrement un appareil tout nouveau, “AquaStim”, un dynamiseur d’eau par
ondes millimétriques. Selon lui, l’eau traitée peut être bue pour
renforcer l’immunité, et en application locale elle est cicatrisante.
Yossif Blinkov a lui aussi inventé un dynamiseur d’eau, qui produit ce
qu’il appelle de “l’eau vivante”. Mieux encore : Evgueni Fessenko, un
savant de réputation mondiale, le directeur de l’institut de Pouschino,
ne se contente pas d’envoyer des ondes millimétriques pour stimuler ou
inhiber le passage des ions calciums ou l’activité des cellules
immunitaires. Il affirme avoir démontré qu’on obtient des effets
identiques en baignant les cellules avec une eau qui a été préalablement
irradiée par ces mêmes ondes.
[i]L. L. [/i]: Peut-être aviez-vous déjà pensé, quand j’ai mentionné
l’homéopathie électromagnétique, à Jacques Benveniste. Eh bien, sans
toujours connaître son nom, les chercheurs russes nous ont répondu comme
une évidence : “Mais bien sûr, tout est dans la mémoire de l’eau !”.
[i]J.-P. L.[/i] : Conclusion : pour aller plus loin dans la
compréhension de ces effets il faudra investir massivement et étudier la
structure moléculaire de l’eau, dont on ne sait presque rien. Autrement
dit, il serait temps d’y mettre les moyens. Mais il faut surtout changer
toute notre vision de la biologie !
La voix de la planète : la résonance de
Schumann et ses rapports avec l’être humain
Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être
des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer
la RS comme étant la "Voix .de la Planète", plutôt que comme le
battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a
une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ
isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique
terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont
étroitement imbriqués. Nos rythmes internes interagissent avec les
rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye
mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS
participent sans doute à la régulation de notre horloge interne,
agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les
sécrétions hormonales.
Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés
de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur
d’ondes. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la
moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures
moyennes q’ondes cérébrales. Comme ces dernières, la RS fluctue en
fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions
solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.
Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente
est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et
interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les
phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une
fourchette de temps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sidéral
en un lieu est l’angle horaire du point vernal en ce lieu. Ce temps n’a
donc rien à voir avec l’heure locale ni le temps solaire vrai]. Il y
implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec
un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. L’avancée de ses
recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio
jouent un rôle important dans le bio-contrôle, dans l’homéostasie et
dans les interactions mentales à distance. Pitkanen suggère que, d’une
certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un
bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de
verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des
circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement
quantifiés - dont les noeuds, les liens et les torsions sont entraînés
par les forces géomagnétiques - comme générateurs de changements dans la
polarité magnétique.
"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de
l’entraînement des .neurones dans le cerveau. Ceux-ci sont animés en
schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers
une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu’en état de
méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta
parcourent le cerveau entier, il devient possible que l’être humain et
la planète entrent en résonance.
C’est un transfert d’énergie et d’information qui est "incrusté’"
dans un champ mais qui n’est pas le champ. Peut-être que la planète
communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci
expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme]
semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux
rythmes alpha.
De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se
sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la
nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces
transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à
consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.
Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de
transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui
semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou
scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat.
D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane,
dont de nombreux pratiquants s’inclinent et se balancent de façon
rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés.
Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un
niveau plus profond et à créer des "expériences" accompagnant un
endoctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon
aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités
charismatiques ou "mana".
Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et
Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur
culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté.
N’importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le
faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de
manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en
trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière
se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation
sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.
Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants
turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant
rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen
naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement
de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le
corps commence à bouger et les mains à trembler et, lorsqu’il n’y a pas
de contrainte ou d’inhibition, le corps entier entre dans un mouvement
de résonance qui est le reflet de l’intention de guérison. Par exemple,
dans les danses de guérison des Bushmen du Kalahari, des chamans
investis de l’énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se
mettent à trembler. Lorsqu’ils empoignent une autre personne et
l’enlacent, l’autre commence aussi à trembler et peut à son tour en
enlacer une autre. L’une après l’autre, toutes commencent à vibrer avec
cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise),
avant que cela n’atteigne notre culture ou d’autres cultures
contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s’exprime par
des pratiques plus subtiles, telle que "l’entraînement thérapeutique"
(le rapport d’empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).
N’importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence
d’énergie de guérison et il n’existe pas de méthode unique idéale. C’est
une capacité très naturelle que nos corps sont capables d’activer pour
vibrer à l’unisson avec la pulsation de vie. L’objectif de ce mouvement
est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel
isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste. On peut à cela
donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns
aux autres et à la Nature, manifestant l’axiome métaphysique : "Ce qui
est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique
établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus
en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l’objet ne font
qu’un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont
effectivement unies. C.M.Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un
phénomène dont l’expérience est familière mais mal comprise qu’il nomme
"Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant].
Beaucoup de gens observent ce "son" généré à l’intérieur,
particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble
alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d’insecte.
Anderson ne l’attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à
l’état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au
rythme normal alpha de 10Hz.
Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui
pourraient provenir d’une perte d’accoutumance due à la déstabilisation
de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage.
Aussi, l’histoire des traumatismes et de l’abus de stupéfiants est
fortement associée à l’asymétrie de la fonction hémisphérique. Les
structures du lobe temporal, telles que l’hippocampe et l’amygdale
cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais
traitements et traumatismes de l’enfance.
Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une
alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche
et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du
système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait
fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait
indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux
provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente
primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau
sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO
(protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au
brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de
la période de rêve éveillé.
Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de
guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement
engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel
d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des
structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la
stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente
pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du
sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce,
aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie
perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du
REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)
Ondes électromagnétiques et mutations
génétiques.
Tiré de l'excellent site de Jean-Pierre Petit :
http://www.jp-petit.org anciennement
http://www.jp-petit.com
(Extrait de la page
http://www.jp-petit.com/dangers/Armes_bacterio/armes_bacterio.htm)
"Les phénomènes ondulatoires sont extrêmement intéressants dans
l'optique d'un usage thérapeutique. En effet la combinaison de deux
fréquences peut donner des résultats étonnants : une fréquence
"porteuse" et une fréquence "de modulation".
Tous les "matériaux" sont plus ou moins transparents pour des
fréquences données, y compris les tissus vivant. C'est valable pour les
ultrasons comme pour les ondes électromagnétiques. Tous les tissus, tout
ce habite un être vivant possède sa propre "bande passante". Entre une
fréquence N1 et une fréquence N2 ces tissus n'absorbent aucune
radiation. Par contre n'importe quel tissu, n'importe quelles cellule ou
structure ou biomolécule possède une fréquence de résonance Nr pour
laquelle l'absorption est maximale. Tout le monde connaît le phénomène
de résonance. Lorsqu'on attaque un matériau en tombant pile sur cette
valeur l'énergie se trouve amplifiée, accumulée. C'est comme ça qu'une
troupe marchant au pas sur un pont suspendu peut provoquer la rupture de
celui-ci. C'était le fondement de la biotechnologie Ummite. Les coques
des virus avaient une fréquence de résonance qu'ils connaissaient avec
précision. En envoyant vers des sujets injectés des pinceaux d'ultrasons
modulés selon cette fréquence de résonance ils pouvaient opérer à
distance ces destructions spécifiques des virus mortels ayant contaminé
les habitants de la localité espagnole d'Albacete (voir "l'affaire de la
main coupée").
Aujourd'hui n'importe quel laboratoire de biologie pourrait se livrer
à ce type de recherche, par exemple sur des végétaux. infectés. Mais,
dans le monde de la recherche et de la médecine "les ondes" gardent un
certain relent de charlatanisme. Il était donc difficile de sensibiliser
de tels milieux à ce genre d'approche. Un Suédois, ainsi que me l'avait
montré Spitalier en me confiant une brochure avait bien essayé
d'attaquer les cellules tumorales à l'aide d'une simple source HF.
L'idée était très rustique. Les cellules cancéreuses sont plus
vascularisées que les autres. Plus riches en eau elles sont a priori
plus sensibles aux ondes électromagnétiques. L'idée du Suédois avait été
de placer des sujets porteurs de nombreuses métastases dans ce qui
n'était rien d'autre que de grands fours à micro-ondes. On pouvait ainsi
monter leur température jusqu'à plus de quarante, quarante et un et, si
mes souvenirs sont exacts, localement, quarante-deux degrés. Les
cellules cancéreuses, plus sensibles à ce chauffage, mourraient les
premières. Des essais furent faits sur des sujets déjà condamnés par la
médecine. On obtint, sinon des rémissions, du moins des destructions
spectaculaires de certaines métastases. Mais le recours systématique à
une telle technique restait extrêmement dangereux, la frontière entre la
guérison et la cuisson restant étroite.
A travers Spitalier, il y a vingt ans, j'avais donc proposé à des
cancérologues, extrêmement méfiants et réticents, de tenter des
expériences d'actions de micro-ondes (HF) pulsées en très basse
fréquence. On savait déjà à l'époque (même Science et Vie en avait parlé
! ) que l'ADN était extrêmement sensible à ce genre d'effecteur. En
effet quand les gens se mirent à étudier l'action des micro-ondes sur le
vivant de champs électromagnétiques on s'attendit à ce que les tissus
les plus riches en eau s'avèrent être les plus réceptifs. En effet la
molécule d'eau, du fait de sa dissymétrie, de sa polarisation
intrinsèque qui fait d'elle un minuscule dipôle est censée réagir à un
champ électrique alternatif qui tend alors à la faire tourner, en lui
transmettant ainsi de l'énergie. Encore aujourd'hui on utilise cette
technique dite "du radar" pour chauffer des articulations à l'intérieur
en transmettant cette énergie électromagnétique aux fluides contenus
dans leurs capsules articulaires. Les tissus riches en eau possèdent eux
aussi leur bande passante et leur fréquence de résonance. Ils deviennent
"transparents", ou presque, lorsque la fréquence de l'onde devient assez
élevée. Par contre si on traite cette fréquence comme celle d'une
"porteuse" et qu'on module en basse fréquence on obtient des résultats
aussi surprenants qu'inattendus. Des molécules ultra-longues, comme
l'ADN se comportent alors comme des antennes, s'avérant sensibles aux
très basses fréquences de modulation. On découvrit ainsi que l'ADN
sollicité par de la HF en quelques gigahertz (fréquence de la porteuse),
modulés en ..quelques hertz (fréquence de modulation de celle-ci)
pouvait s'avérer 400 fois plus absorbante que l'eau elle-même. Il
devenait possible de solliciter de manière ultra-sélective ces longues
molécules en basse énergie, sans créer au sein des tissus le moindre
échauffement, la moindre lésion secondaire par effet thermique. Avec
Spitalier nous avions pensé à l'ADN des cellules cancéreuses en
imaginant que l'on puisse détruire ces molécules à l'intérieur même des
êtres vivants. A l'époque l'épidémie du Sida démarrait déjà. Dans ce cas
précis la technique pouvait s'avérer très féconde, puisque le virus, à
l'abri dans les lymphocytes T4, était a priori protégé d'attaques
biochimiques. Il me semblait qu'on aurait pu déceler un "point de
fragilité" dans l'ARN du Sida et l'attaquer grâce à une porteuse qui
aurait sans encombre traversé les cytoplasmes des T4.
J'en profite au passage pour expliquer au lecteur comment les T4
éliminent les cellules indésirables dans le corps humain. Ces cellules
sont équipées pour reconnaître un nombre extraordinaire de "signatures
cellulaires". On pense que cette reconnaissance s'effectuerait au simple
contact de sous-ensembles moléculaires. Si telle cellule est identifiée
comme un indésirable alors le T4 se fixe à elle et la détruit. Comment ?
Et c'est là que l'imagination du monde de la vie devient extraordinaire.
On sait que les êtres vivants sont sensibles à d'incessantes mutations.
De ce fait nous sommes moins sensibles aux antibiotiques que ne
l'étaient nos parents. Si les T4 devaient procéder à l'élimination des
cellules infectieuses par attaque biochimique la simple sélection
naturelle donnerait naissance à de nouvelles souches devenues
insensibles à ces poisons anti-cellules. Alors ces "lymphocytes-tueurs"
utilisent un moyen.... mécanique. Des molécules de "perforine" sont
utilisées. Celles-ci sont introduites à travers la membrane de la
cellule et assemblées pour former une sorte de rivet. La cellule se vide
alors par cet orifice (en fait ces orifices car, le microscope
électronique le montrait déjà il y a plus de vingt ans, les T4 tuent
ainsi les cellules à l'aide de plusieurs "coups de surin", absolument
imparables).
Pour atteindre des virus retranchés à l'intérieur de lymphocytes on
aurait pu alors soumettre les sujets à des ondes électromagnétiques en
très basse énergie vis à vis desquelles l'ensemble de leur corps eût été
"transparent". En modulant ces ondes selon une basse fréquence très
précisément adaptée on aurait pu par exemple briser les ARN de ces
rétro-virus du SIDA ou les invalider, les rendre incapables de se
dupliquer.
On préféra la voie chimique, avec un certain succès il faut bien
l'avouer, à la fois pour le Sida (tri-thérapie) et pour le cancer
(chimiothérapie). En fait les deux approches auraient pu être menées de
front sans problème, la voie "micro-ondes pulsées" n'étant a priori pas
bien coûteuse. Mais il faut se souvenir que les laboratoires
pharmaceutiques cherchent à soigner les gens, en en tirant des profits,
non à les guérir. Des gens bien portant ne rapportent rien. De plus, en
les rendant dépendants d'un médicament, couvert par des brevets, on peut
s'emplir les poches. Si des affections pouvaient être traitées avec une
simple machine, où irait-on? "
Pousse-t-on le cerveau à disjoncter ?
Chapitre 22 de l'ouvrage "Les anges ne jouent pas de cette Haarp".
Par Jeanne Manning, journaliste et Dr Nick Begich, homme politique de
l’Alaska
Juin 2003, 400 pages
Edition:
Louise Courteau, éditrice inc.
481, Chemin du Lac St-Louis Est
St-Zénon, Québec, Canada
J0K 3N0
ISBN:2-89239-249-7
Les ondes cérébrales
Les nouvelles technologies offrent des possibilités incroyables
pour améliorer l’apprentissage, la mémoire et modifier le
comportement humain. Ces outils high-tech futuristes sont
disponibles aujourd’hui et commencent à envahir le marché.
Michael Hutchison, un écrivain très en vue dans le domaine des
recherches sur le cerveau, a permis aux profanes de se familiariser
avec ce sujet.
Selon Hutchison, le cerveau fonctionne dans une bande de
fréquences dominantes relativement étroite. Les fréquences
dominantes des ondes cérébrales indiquent le type d’activité dans le
cerveau. Il y a quatre groupes principaux de fréquences d’ondes
cérébrales, qui sont associées à la plupart des activités mentales.
- Le premier groupe, les ondes bêta (de 13à 35 Hertz ou
pulsations par seconde) est associé aux activités normales, c’est à
dire aux activités familières, pendant lesquelles l’attention de la
personne est tournée vers l’extérieur. Les valeurs supérieures de
cette bande de fréquences sont associées au stress ou à des états
d’agitation, qui peuvent altérer la pensée et affaiblir les
capacités de raisonnement.
- Le deuxième groupe, les ondes alpha (de 8 à 12 Hertz) indiquent
un état de relaxation. Les fréquences alpha permettent d’apprendre
facilement et de bien se concentrer mentalement.
- Le troisième groupe, les ondes thêta (de 4 à 7 Hertz) se
rapporte aux images mentales (imagination , rêve éveillé) , à
l’accès à la mémoire et à la concentration mentale interne. Cet état
se retrouve souvent chez les jeunes enfants, lors de modifications
artificielles du comportement et dans les états de sommeil et de
rêve.
- Le dernier groupe, les ondes delta, ultra lentes (de 0,5 à 3
Hertz) se retrouvent chez une personne profondément endormie. En
règle générale, la fréquence dominante des ondes cérébrales sera au
plus bas (en terme de pulsations par seconde) dans un état de
relaxation et au plus haut lorsque la personne est très active ou
agitée.223
Stimulation extérieure électromagnétique
Une stimulation extérieure au cerveau, avec des signaux
électromagnétiques, peut entraîner le cerveau ou le bloquer en phase
avec un générateur de signaux externes. Une stimulation extérieure
peut conduire ou pousser des ondes cérébrales dominantes dans de
nouvelles bandes de fréquences. En d’autres termes, le programmateur
de signaux externes ou générateur d’impulsions peut imposer son
propre rythme au cerveau d’une personne : les fréquences normales
sont alors altérées artificiellement et les ondes cérébrales
s’adaptent à la nouvelle bande de fréquences.
La chimie cérébrale subit à son tour des changements, ce qui
modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la
condition physique en sont altérées. Le comportement humain est
fonction de sa programmation. La manipulation mentale peut-être soit
bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet.
Les différentes fréquences, en combinaison avec des formes
d’ondes spécifiques, déclenchent des réactions chimiques très
particulières dans le cerveau. La libération de ces neurochimiques
entraîne des réactions spécifiques dans le cerveau, qui se
traduisent par des sentiments de peur, de désirs, de dépression,
d’amour, etc. L’éventail complet des réactions émotionnelles et
intellectuelles est le résultat de combinaisons neurochimiques très
spécifiques des neurotransmetteurs, qui sont sécrétés lors
d’impulsions électriques de fréquences spécifiques. Des mélanges
précis de ces sécrétions cérébrales peuvent induire des états
mentaux très particuliers, comme la peur du noir, ou une
concentration intense [224]. Les travaux dans ce domaine avancent à
une vitesse fulgurante et on découvre régulièrement de nouvelles
choses. Plus nous en saurons sur ces fréquences cérébrales
spécifiques, plus nous avancerons dans notre compréhension de
l’organisme humain et de son bon fonctionnement. Des radiations de
fréquences hertziennes, qui se comportent comme un conducteur sans
fil de fréquences extrêmement basses (ELF), peuvent être utilisées
pour télécommander les ondes cérébrales. C’est ce que le HAARP
pourrait faire dans certaines de ses applications. Toutefois, on ne
parle pas des effets secondaires de ce procédé sur l’homme dans les
documents de HAARP, mais ils sont mentionnés dans ceux du
gouvernement, que nous avons épluchés avant d’écrire ce livre.
M. Light, un chercheur et directeur de Biomedical Instruments,
Inc. , un organisme qui commercialise des appareils électro-médicaux
utilisés pour le contrôle ou la manipulation de l’activité
cérébrale, est souvent cité dans le dernier livre de Hutchison
[225]. Le niveau de puissance électrique nécessaire pour effectuer
une mesure de contrôle de l’activité cérébrale est très faible (de
l’ordre de 5 à 200 microampères) ce qui est des milliers de fois
plus faible que la puissance nécessaire pour allumer une ampoule de
60 watts. Il s’agit ici de besoins en énergie très très faibles.
L’astuce pour influencer l’activité cérébrale se trouve dans la
juste combinaison de la fréquence, du degré de puissance et de la
forme d’onde. Ce qui a été réalisé dans ce domaine, au cours des
vingt dernières années et, plus particulièrement au cours de ces
toutes dernières années, représente un énorme pas en avant.
Les recherches, menées sur le plan international, ont montré que
le cerveau peut facilement être excité ou amené à changer d’état de
conscience, sous l’influence de champs électromagnétiques externes.
Ces nouveaux outils ont fourni de nouveaux moyens aux scientifiques
comme aux profanes. Ces moyens sont des appareils électriques de
stimulation crânienne, des systèmes sonores, des systèmes à
impulsion lumineuse et tout un ensemble varié d’appareils pour
l’entraînement du cerveau et le feedback. Les avancées
technologiques ont été intégrées dans des systèmes spéciaux de
contrôle et de commande, qui permettent aux gens d’apprendre à
contrôler et à modifier leur propre activité cérébrale et à obtenir
des résultats bénéfiques. Dans les documents, on parle, entre
autres, de relaxation, de la maîtrise de la douleur, d’apprentissage
accéléré et d’amélioration de la mémoire [226], [227], [228].
Les travaux les plus récents de Hutchison donnent les meilleures
descriptions que l’on puisse trouver sur ces techniques destinées à
influencer le cerveau. Son dernier livre Mega Brain Power («
Megabrain ») propose au lecteur une mise à jour sur les évolutions
dans ce domaine; les développements vont tellement vite, que les
applications de cette science galopante n’arrivent plus à suivre.
Partant de là, il publie, depuis quelques années, une Newsletter, un
bulletin d’informations sur les découvertes les plus récentes. Des
publications récentes 229 parlent de technologies capables, entre
autres, de guérir des dysfonctionnements du système nerveux, de
corriger un déficit de la concentration et les dysfonctionnements
dus à l’hyperactivité chez les enfants, de résoudre des problèmes de
dépendances aux drogues et à l’alcool. Ce type d’électro-médecine
devient un des domaines de recherche médicale les plus passionnants.
Ces dernières années, les scientifiques ont développé des
applications médicales et psychologiques et ils ont obtenus des
résultats très encourageants. Certains de ces résultats ont éveillé
l’intérêt de l’armée de l’air, ainsi que vous le verrez au chapitre
suivant. Malheureusement, la recherche militaire continue de
considérer ces technologies comme des systèmes d’armement, au lieu
d’outils pouvant servir à l’évolution de l’homme.
Un des inventeurs les plus doués d’Amérique, le Dr Patrick
Flanagan, prédisait déjà en 1962 une évolution dans la médecine : Je
crois qu’un jour l’ensemble des pratiques médicales sera transformé
par l’électronique. Les gens auront des traitements électroniques et
non plus médicamenteux [230].
Remarque personnelle : ceci n'est pas sans évoquer " La machine
de Prioré "
A l’époque, le Dr Flanagan venait d’être reconnu comme
l’inventeur de ce qui est toujours l’outil le plus pointu au monde
pour influer sur l’activité cérébrale par stimulation
électromagnétique et pouvant aussi fonctionner comme interface entre
l’homme et l’ordinateur, le Neurophone.
Flanagan a dit, lors d’une récente interview, que HAARP pouvait
être non seulement le « réchauffeur ionosphérique » le plus puissant
au monde, mais aussi l’appareil le plus puissant jamais conçu pour
la manipulation du cerveau. Selon les documents, lorsque HAARP sera
pleinement opérationnel, il sera en mesure d’envoyer des ondes ELF
et VLF utilisant de nombreuses formes d’ondes à des niveaux
d’énergie suffisants pour influer sur le fonctionnement cérébral de
l’ensemble de la population d’une région.
Les planificateurs de HAARP n’ont jamais mentionné les recherches
de Flanagan, bien que l’Armée de l’air et la Marine aient travaillé
dans ce domaine depuis le début des années 60 . Mais comme ils
appliquent le cloisonnement et le principe du strict minimum, dont
nous avons déjà parlé dans ce livre, il est fort probable que la
plupart, sinon tous ceux qui sont impliqués dans la construction et
la programmation du projet HAARP dans cette première phase, ne
savent rien des possibilités d’utilisation dans le domaine
neuroélectrique.
Le Dr Robert O. Becker fit une expérience au début des années 60
avec les ELF (fréquences extrêmement basses) en utilisant un courant
continu (CC) pour transporter le signal ELF. En d’autres termes, le
signal ELF circulait comme un passager dans un bus : il conservait
ses propres caractéristiques, tout en étant porté vers sa
destination spécifique. Le Dr Becker a testé ce concept sur des
hommes, en utilisant un signal ELF de 1-10Hertz (cycles ou
impulsions par seconde). Il en résulta que certaines de ces
personnes-cobayes accusèrent une perte de capacité de leur
conscience. Les faibles ondes ELF seules ne montraient aucun effet
et le CC seul avait un effet très faible. Au dessus de 10Hertz et en
association avec le CC, les effets retombaient progressivement
jusqu’à atteindre le niveau atteint par le CC seul 231 . Ceci prouve
qu’avec des ondes ELF (ces fréquences ont de grandes affinités avec
les ondes cérébrales humaines) on peut faire des manipulations
externes des processus cérébraux et obtenir de très bons résultats.
Le neurophone de Flanagan
En 1958, le Dr Patrick Flanagan, alors âgé de 14 ans, inventa le
Neurophone, qui lui valu d’être reconnu comme un des plus brillants
inventeurs de notre temps. Le Neurophone peut convertir les sons
(comme la parole et la musique) en impulsions électriques, qui
peuvent être transférées directement dans le cerveau, en passant par
n’importe quel point sur le corps, mais sans passer par les oreilles
et les autres mécanismes liés à l’ouïe. L’Office des brevets a
refusé de délivrer un brevet pour cet appareil pendant plus de six
ans, le temps de discuter en détail de cette technologie pointue.
Finalement, les fonctionnaires déclarèrent que le Neurophone ne
marcherait jamais et refusèrent le brevet. Patrick et son avocat se
rendirent à Washington D.C. avec un appareil, afin de le montrer à
l’examinateur de l’Office des brevets. L’examinateur a déclaré que
si cet appareil pouvait rendre l’ouïe à un employé qui souffrait de
surdité nerveuse, il rouvrirait les dossiers et accorderait le
brevet. L’appareil fonctionna, l’employé entendit et … chose
promise, chose due, le brevet fut accordé.
Plus tard, le Dr Flanagan travailla à l’université Tufts, ou il
entreprit d’autres travaux de recherche et de développement avec son
Neurophone. En tant que scientifique chercheur pour Tufts, il
travailla à un système de communication entre l’homme et le dauphin,
pour la Marine. Ces travaux aboutirent au développement d’un système
sonore holographique en 3D, qui permettait de diriger le son dans
n’importe quelle direction d’une pièce mais l’auditeur aura toujours
l’impression que le son lui est destiné.
Des recherches complémentaires, permirent la mise au point d’un
Neurophone numérique très perfectionné, pour lequel il demanda un
brevet. L’Agence américaine pour la sécurité de la Défense (Defense
Intelligence Agency) le plaça immédiatement sous le sceau du secret,
au nom de la sécurité nationale et il fut interdit au Dr Flanagan de
mener d’autres recherches et même de parler de cette technologie,
pendant 4 ans.
Lorsque l’injonction de garder le secret fut enfin levée, vingt
ans après que le premier Neurophone eut été inventé, le Dr Flanagan
fut en mesure de faire construire le Mark XI et le Thinkman Model
50, en nombre limité. Ils furent utilisés comme outils pour
l’apprentissage, car ils pouvaient « télécharger » des informations
enregistrées dans la mémoire à long terme.
A partir de là, le Dr Flanagan continua d’expérimenter de
nouveaux concepts et des schémas avancés, en vue d’améliorer encore
la technologie du neurophone. Cet appareil serait l’interface
absolue entre le cerveau et l’ordinateur et il est question de le
remettre en vente. L’idée de pouvoir transférer, dans la mémoire à
long terme, une profusion d’informations correctement formatées,
entraînerait une révolution dans le monde de l’éducation ( ! ... ) .
Les modèles éducatifs existants deviendraient, de ce fait,
obsolètes. L’éducation ne concernerait plus l’accumulation de
données, mais mettrait l’accent sur l’apprentissage des stratégies
et l’exploitation des ressources mentales. Cette transformation
offrirait de grandes possibilités de créativité et de développement
personnel, grâce à la maîtrise des potentiels intellectuels.
Le Neurophone est l’un des appareils pouvant influer sur le
cerveau par stimulation électromagnétique, les plus puissants qui
aient jamais été développés. En inventant le Neurophone, le Dr
Flanagan avait des dizaines d’années d’avance sur son temps. Ces
dernières années, il a continué à perfectionner le Neurophone, en
testant de nouveaux modes de transmission. Et, considérant l’intérêt
qu’avait montré l’Agence de la Sécurité de la Défense pour le
premier Neurophone numérique, il est fort probable qu’eux aussi
aient cherché à l’améliorer. Lors de nos entretiens sur le projet
HAARP avec les Dr Patrick et Gael Crystal Flanagan en 1994, il s’est
avéré que ce transmetteur radio et réchauffeur ionosphérique pouvait
être utilisé comme un Neurophone sans fil. Cette utilisation offre
d’énormes possibilités d’utilisations offensives [232].
Biofeedback cérébral
[NdR] : En fait, ces modifications de l'EEG ne sont pas
spécifiques à la méditation, et ne peuvent pas être utilisées dans
le but de certifier l'existence de quelques états mentaux
particuliers qui soient. Les changements d'EEG, rapportés par les
premiers chercheurs, indiquent généralement une moindre excitation
corticale. Physiologiquement, ils ne sont pas spécifiques à la
méditation et, en fait, sont justes logiques avec l'assoupissement
qui accompagne le sommeil, tout comme ils le sont avec tout état de
conscience spirituellement "élevé". De la même manière, pas plus que
l'EEG pendant la méditation n'est distinguable de l'état "groggy"
dans lequel on se trouve en s'endormant, cela ne nous oblige à
conclure que l'expérience mentale à laquelle les méditants aspirent
ne peut être discernable, agréable, ou même bénéfique de quelque
façon qui soit (Neher 1990). Tout au plus, les adeptes de la
méditation entraînés peuvent-ils se sentir différents pendant leur
méditation, contrairement à l'endormissement.
extrait de
http://charlatans.free.fr/synchroniseur-energiseur-cerebraux.shtml
Le biofeedback cérébral en temps réel est un autre domaine de la
recherche sur le cerveau, qui commence à offrir de belles
opportunités à beaucoup de gens. Ce domaine concerne les nouvelles
techniques de prise de contrôle sur le cerveau. Ce sont des
technologies électroniques interactives, qui permettent aujourd’hui
d’observer les ondes cérébrales en temps réel. La personne qui
utilise ces outils, peut voir les tracés de ses propres ondes
cérébrales sur l’écran d’un ordinateur pendant qu’elle pense ou
agit.
Aujourd’hui, il existe plusieurs systèmes sur le marché, mais un
des plus pointus est construit aux Etats-Unis par l’American Biotech
Corporation. Avec ces systèmes, une personne peut apprendre à
manipuler son cerveau de manière très perfectionnée. Il a été
possible, entre autres, d’atteindre des états de méditation très
profonde (des états de conscience habituellement atteints après des
années d’entraînement), une augmentation du taux de récupération des
dysfonctionnements cérébraux, causés par une attaque d’apoplexie ou
un accident et des améliorations chez les enfants souffrant de
troubles de l’attention et d’autres dysfonctionnements.
Ces nouvelles technologies de feedback (rétroaction) servent à
aider les gens dans de multiples situations. Plusieurs chercheurs
ont prouvé l’efficacité du biofeedback cérébral, en réussissant à
mettre fin à des états de dépendances aux drogues et à l’alcool. Ces
outils et ces technologies ont été utilisées dans le but de guérir
un bon nombre de désordres mentaux, en apprenant à la personne
comment créer, à volonté, de nouvelles structures cérébrales à
l’intérieur d’elles même, pour modifier son niveau de conscience.
Les scientifiques se sont aperçus que les gens étaient capables
d’apprendre à reproduire, à volonté, un certain nombre d’états
mentaux spécifiques, en l’espace de 30 à 60 jours et sans se servir
continuellement de ces machines. La machine ne sert que de lien
entre deux niveaux d’autocontrôle mental. Les techniques, qui
utilisent les modems informatiques, peuvent s’expliquer ainsi : il
s’agit d’un système d’apprentissage pour contrôler sa pensée à son
propre rythme, pour arriver à des résultats bien spécifiques. Un
petit enfant qui apprend à maîtriser ses jambes pour ramper, puis
pour marcher, puis pour courir, est un exemple parfait. Nous, les
adultes, en sommes toujours au stade de l’enfant qui rampe, dans
notre contrôle mental. Ces technologies nous offrent l’opportunité
d’un meilleur contrôle de soi, grâce à un meilleur contrôle de notre
cerveau. Il ne faudrait pas sous-estimer la valeur de cette
technologie.
Changer sa manière de penser, en décidant personnellement des
changements, n’est pas malsain. Mais il est fâcheux de constater que
les gouvernements s’intéressent à ces technologies, non pour des
utilisations individuelles bénéfiques, mais afin d’améliorer leur
contrôle sur des populations qu’ils estiment dangereuses. Ces
technologies promettent beaucoup, mais le potentiel qu’on en abuse
est bien là et il est très important. Comme ces technologies
existent actuellement, tous les travaux dans ce domaine devraient
être publiés. Ceci garantirait la préservation d’un droit
fondamental de l’homme, à savoir le droit de penser librement.
Les travaux réalisés dans ce domaine auront des répercussions
profondes sur chacun d’entre nous. La publication des informations,
jalousement gardées par les agences gouvernementales au nom de la
sécurité nationale, permettrait d’accélérer la compréhension de ces
technologies et leur portée. Si les instances de l’état publiaient
les résultats de leurs recherches, nous pourrions avancer à pas de
géant dans l’un des domaines les plus importants du développement
humain. Si le cerveau humain pouvait être utilisé de manière plus
performante, il est probable que nous pourrions résoudre des
problèmes complexes dans le monde et ainsi améliorer la qualité de
vie de beaucoup de gens.
Ce chapitre sert d’introduction à certains concepts que nous
avons étudiés. Quand à nos lecteurs, ils sont invités à poursuivre
leurs propres recherches et ainsi devenir de nouveaux compilateurs.
Ce chapitre apporte de plus amples informations sur les fréquences
et les formes d’ondes de l’énergie, susceptibles d’améliorer le
potentiel humain au lieu de le détruire. L’utilisation et le
développement de ce type de technologies ne devraient pas être
imposés aux gens par l’Armée à travers ses manipulations de
l’atmosphère ou par d’autres moyens externes. Les gens devraient
pouvoir choisir personnellement ces innovations technologiques,
s’ils le décident.
Notes et bibliographie
Notes de bas de page
[223] Michael Hutchison : Mega Brain, New Tools and techniques
for Brain Growth and Mind expansion » ,1986
[224] Michael Hutchison : Mega Brain, New Tools and techniques for
Brain Growth and Mind expansion » ,1986 p114
[225] Michael Hutchison : Mega Brain power 1994
[226] Sheila Ostrander & Lynn Schroeder : « Super Learning »
[227] Michael Hutchison : Mega Brain power 1994
[228] Michael Hutchison : Mega Brain , New Tools and techniques for
Brain Growth and Mind expansion » ,1986
[229] « Megabrain Report » , The Journal of Optimal performance ,
Vol 2 n°4 , 1994
[230] « Whiz Kid , Hands Down », Life Magazine , 14 septembre 1962
[231] Robert O.Becker , MD : Cross Currents : The Perils of
Electropollution.THe Promise of Electromedecine » Jeremy Tarcher ,
Los Angeles , 1990 , page 227
[232] Entretiens entre les Drs patrick &Gael Crystal Flanagan et le
Dr Nick Begich en 1994 et 95
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http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/09/12/22012557.html
"Nous faisons tous partie d'un grand hologramme nommé
Création, qui est le soi de tout le monde… C'est un jeu
cosmique où il n'y a rien d'autre que vous !!" de Itzhak
Bentov, scientifique, auteur et mystique.
"Voici le monde dans un grain de sable Et le Ciel dans
une fleur sauvage, Tenir l'infini dans la paume de ta
main Et l'éternité dans une heure" de William Blake,
poète et visionnaire mystique.
"Toute matière provient d'une force et n'existe que par
celle-ci… Nous devons présumer l'existence, sous cette
force, d'un Esprit conscient et intelligent. Cet Esprit
est La Matrice de toute la matière…" Max Planck, père de
la théorie quantique.
Citations du livre de Gregg Baden "la Divine Matrice"…
et encore ceci :
"Ainsi nous découvrons et commençons à peine à
comprendre que nous sommes connectés non seulement à
tout ce que nous voyons aujourd'hui dans notre vie, mais
aussi à tout ce qui a jamais existé, de même qu'à des
choses qui n'existent pas encore. En outre, ce dont nous
faisons l'expérience maintenant est le résultat
d'évènements qui se sont produits (au moins en partie)
dans une sphère de l'univers qui nous est invisible."
Les implications de cette relation sont énormes. Dans un
monde où un champ énergétique intelligent relie toutes
choses, de la paix globale à la guérison personnelle, ce
qui autrefois passait pour miraculeux ou fantastique
devient soudain possible dans notre vie" Gregg Baden.
Dans sa phase quantique, il est bon de noter que votre
corps physique va disposer d’une excellente fluidité
permettant l’harmonisation du corps et de l’esprit.
Votre pensée intuitive induite par la Synergie est
amenée à maturité et à son point d’évolution par le
neuropeptide qui accompli le rôle de transformateur, à
cette enseigne le quantum agit de la même manière au
cœur de l’Univers. Votre pensée intuitive va fait naître
le neuropeptide à son contact par un agent
neurochimique. C’est une transformation qui aura lieu au
cœur de la matière et de l’antimatière en vous. A
l’image de l’espace intergalactique, votre corps
physique va disposer, toute proportion gardée, du même
espace vide. Il est bon de vous rappeler que les
particules subatomiques sont séparées par le vide et
l’atome dispose d’un espace vide à 99.99%.
Par la Synergie, vous véhiculerez le quantum au travers
des hyperespaces multidimensionnels dont vous disposez,
par la synchronisation de vos cellules cérébrales, vous
vous offrirez un million de cellules et de
neurotransmetteurs pour vous permettre d’agir au sein de
la salle de contrôle qui coordonne mon système
neurophysique au cœur de votre cerveau. Alors
apparaîtront les photons (quantum de lumière) qui ne
pourront être divisés en de plus infimes particules, qui
vont vous permettre d’agir au cœur de la structure inter
dimensionnelle de votre Être. Dans l’hologramme de votre
être apparaîtront trois ADN : votre ADN humain, l’ADN
terrestre (Agartha) et l’ADN cosmique qui se coordonnera
au point de transformation en associant les différents
messages provenant du monde quantique et destiné à agir
au cœur de chaque cellule en se projetant sous forme de
neuropeptides , d’hormones et d’enzymes.
Tous les évènements quantiques de votre vie surviennent
de l’intérieur et de l’extérieur de l’espace
multidimensionnel. Vous disposerez de trous noirs dans
lesquels la matière et l’énergie disparaissent, vous
pouvez les appeler les portes de l’oubli. Dans la
mécanique quantique de votre organisme humain, vous
arrivez dans la zone où le corps tout entier est
organisé et coordonné pour pouvoir profiter des
molécules intelligentes non inertes, ce qui va offrir la
possibilité aux milliards de bits d’ADN de votre
organisme de fusionner dans une seule et grande molécule
d’ADN. Il est alors possible que les ondes VLF qui
vibrent sur la fréquence de l'ADN le font pour l'empecher
de créer un trou noir pour absorber les maladie et les
gènes parasites ,et en s'accumulant les maladies
diverses se déclenchent Notre corps est une machine d'autoguérison
spirituelle preuve de l'existence d'un grand esprit
concepteur d'une telle merveille . ou lorsque nous
pensons nous créons un vortex et ce vortex a le pouvoir
de guérir ou de rendre malade l'ame et le corps c'est
ainsi que fonctionne l'ame agie
RJames